Exhiber la torture dans les rues de Tabass et d’autres villes du sud, fouetter les prisonniers accusés de vol, condamner jeune à être aveuglé, lancer des rafles de grande ampleur, assassiner des opposants, réprimer les femmes sous prétexte de plan pour faire régner « la pudeur », opérer des descentes violentes dans les domiciles privés sous couvert de saisie des antennes satellites, sont quelques unes des mesures répressives que déploient les mollahs ces derniers temps.
Le recours des mollahs à cette barbarie effrénée trahit leur incapacité à contenir les crises dans lesquelles est plongé leur régime et reflète à quel point ils redoutent l’explosion de colère populaire.
La Résistance iranienne souligne que le silence et l’inaction de la communauté internationale encourage la dictature religieuse à poursuivre et intensifier ses crimes. Elle appelle le Secrétaire général de l’ONU, le Conseil de sécurité, le Haut commissariat aux droits de l’homme et les autres organes et instances concernés à condamner les exécutions en Iran. Elle leur demande de prendre des mesures urgentes pour faire cesser les pendaisons. La seule manière de traiter ce régime est d’adopter une politique de fermeté et de l’évincer de la communauté des nations.
Conseil national de la Résistance iranienne
Le 1 octobre 2011