Sergei Riabkof, le numéro 2 du MAE russe, a expliqué le 17 octobre : « Il faut parler de kilomètres de distance qui sépare la position iranienne et celle des grandes puissances, alors que le progrès réalisé n’a été que d’un demi mètre ». » Le niveau de confiance entre Téhéran et le groupe des 5+1 est très bas », a-t-il confié.
Les négociations entre Téhéran et le groupe des 5+1 se sont terminées le 17 octobre sans résultat tangible. Un nouveau round est prévu dans trois semaines, toujours à Genève. Le porte-parole de la Maison-Blanche a déclaré le 17 octobre : « Dans les négociations sur le nucléaire avec l’Iran il ne faut pas s’attendre à un succès rapide. Nous ne sommes pas naïfs quant au défi que représentent les négociations avec Téhéran. Nous avons imposé les sanctions les plus paralysantes de l’histoire, qui ont amené Téhéran à sa position actuelle. Nous ne ferons rien sans être certains que ce sera assuré. »