vendredi, mars 29, 2024
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Les efforts frénétiques de la dictature religieuse en Iran contre la Résistance iranienne cette fois sur BBC Radio 4 et le World Service

Les efforts frénétiques de la dictature religieuse en Iran contre la Résistance iranienne cette fois sur BBC Radio 4 et le World Service

Les efforts frénétiques de la dictature religieuse en Iran contre la Résistance iranienne sous le couvert infâme d’ « anciens membres de l’OMPI », cette fois sur BBC Radio 4 et le World Service

La poursuite des soulèvements en Irak et au Liban a miné la profondeur stratégique et l’un des piliers stratégiques de la théocratie en Iran. L’intensification des sanctions internationales, en particulier à contre le guide suprême du régime et de son entourage, ainsi que la montée des protestations du peuple iranien et des activités des unités de résistance montrent que le temps presse et que cela pose un problème sans précédent à la survie du fascisme religieux dans ce pays.

Dans ces circonstances, les mollahs ont intensifié leurs activités terroristes et leur campagne de diabolisation contre la Résistance iranienne et l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK) pour faire croire qu’il n’existe aucune alternative et que l’Occident serait mieux servi en poursuivant la politique de complaisance. Un de ces efforts se reflète dans le désespoir de la dictature religieuse, sous le couvert infâme d’ « anciens membres de l’OMPI », cette fois par le biais de Radio BBC 4 et du World Service.

Les calomnies déversées par les agents actuels du ministère du Renseignement et de la Sécurité des mollahs (Vevak), travestis en « anciens membres » de l’OMPI, ont été dénoncées à plusieurs reprises par des documents et des preuves irréfutables et condamnées, comme ce fut le cas dans une décision judiciaire allemande contre Der Spiegel pour avoir régurgité ce genre de diffamations. Le stratagème répétitif du Vevak pour souiller l’image de l’OMPI en Albanie vise à préparer le terrain à de nouveaux actes terroristes contre la Résistance iranienne.

Le 23 octobre 2019, la police albanaise a dévoilé les détails des complots terroristes du régime clérical contre les membres de l’OMPI en Albanie par le biais des services d’ « anciens membres ». Dans son reportage, cependant, la journaliste de la BBC ne fait aucune référence à cette évolution, la nouvelle la plus importante en Albanie concernant l’OMPI ces dernières semaines et ces derniers mois, car elle tente d’équilibrer son histoire avec les commentaires des agents du régime iranien. L’année dernière, l’Albanie a expulsé l’ambassadeur du régime iranien et le chef de la branche du Vevak à Tirana pour espionnage et activités terroristes. Dans une lettre adressée au Premier ministre albanais le 14 décembre 2018, le Président Trump l’avait remercié pour ses efforts inlassables contre le terrorisme du régime iranien qui vise à « réduire au silence les dissidents dans le monde entier ».

L’été dernier, quelque 350 dignitaires de 47 pays ont passé cinq jours à Achraf-3, où résident les membres de l’OMPI en Albanie, et ont tout vu de près. Ainsi, les absurdités relancées par la BBC, comme le lavage de cerveau, le manque d’accès à Internet, le déni de liberté de choix aux membres de l’OMPI et la défection de 300 ou 400 membres de l’organisation en Albanie sont totalement fausses et visent à satisfaire les mollahs criminels au pouvoir en Iran. C’est également le cas d’une histoire à dormir debout qui prétend que l’OMPI n’avait pas dit à un prisonnier de guerre, Gholam-Ali Mirzaie, que sa famille était venue le voir d’Iran en Irak. Un fait incontestable est que les représentants de la Mission d’assistance des Nations Unies en Irak (MANUI) et du Haut-commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), ainsi que l’armée américaine étaient présents au camp de l’OMPI en Irak et qu’ils avaient accès à tous, ce qui discrédite clairement toute affirmation de ce genre.

Ces mensonges constituent une concession au fascisme religieux au pouvoir au détriment d’individus très éclairés qui ont consacré leur vie à la démocratie et à la liberté en Iran, et dont plus de 100 000 ont été exécutés par les mollahs, notamment 30 000 massacrés en 1988 sur une fatwa de Khomeiny.

L’OMPI a libéré le prisonnier de guerre susmentionné et l’a envoyé en Albanie le 4 septembre 2016, lui demandant de mener une vie normale. Une fois en Albanie, cependant, il a de nouveau demandé par écrit à adhérer à l’OMPI. Voici le lien vers sa demande :

https://www.iran-efshagari.com/%d9%be%db%8c%d8%b4%e2%80%8c%d9%be%d8%b1%d8%af%d8%a7%d8%ae%d8%aa%e2%80%8c%d8%af%d9%88-%d9%85%d8%b2%d8%af%d9%88%d8%b1-%d8%ba%d9%84%d8%a7%d9%85%d8%b9%d9%84%db%8c-%d9%85%db%8c%d8%b1%d8%b2%d8%a7%db%8c/

Dans son reportage, Linda Pressly de la BBC, affirme que l’OMPI a refusé d’être interviewée pour son émission. Elle a délibérément choisi de ne pas signaler qu’elle et un de ses collègues de la BBC ont été les invités de l’OMPI à Ashraf-3, pendant cinq heures et demie. Au cours de la réunion, les représentants de l’OMPI lui ont dit qu’elle pouvait rester à Ashraf-3 aussi longtemps qu’elle le souhaitait, parler en privé à n’importe qui et se rendre où elle le voulait. Les représentants de l’OMPI lui ont également dit de ne pas s’attendre à ce que l’OMPI fasse partie d’un programme qui était sciemment ou involontairement basé sur un script du Vevak. Ils lui ont dit qu’il ne fallait pas s’attendre à ce qu’ils fassent partie d’un programme qui comprend également des individus dont l’objectif et la mission sont de recueillir des renseignements et d’aider le régime iranien à mener des opérations terroristes contre l’OMPI. Personne n’aurait critiqué les combattants de la liberté et les patriotes allemands, britanniq
ues, français et américains pour avoir refusé d’apparaître aux côtés de collaborateurs des nazis. Les représentants de l’OMPI ont déclaré que c’était là le droit le plus fondamental de l’OMPI de se protéger contre la dictature religieuse terroriste qui mène ses opérations avec des agents se faisant passer pour d’ « anciens membres » ou des « journalistes amis ». C’est exactement de cette manière que le régime a planifié son complot terroriste déjoué en Albanie en mars 2018.

Ali Fallahian, l’ancien ministre du Renseignement des mollahs, sous la direction duquel ont eu lieu le plus grand nombre d’assassinats terroristes à l’étranger, a déclaré le 9 juillet 2017 : « Le ministère du Renseignement a besoin d’une couverture pour recueillir des informations, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur du pays. Nous n’envoyons pas un agent de renseignement en Allemagne ou aux États-Unis pour dire que ‘je suis du ministère du Renseignement’. Une couverture d’affaires ou de journalisme est nécessaire. »

Lors de leur rencontre avec la journaliste de la BBC le 10 octobre 2019, les représentants de l’OMPI en Albanie ont fourni des volumes de documents et des informations détaillées sur les complots terroristes du régime contre Achraf-3, en particulier sur l’utilisation par le régime des services de ses agents turcs et albanais, d’ « anciens membres » et le « réseau des journalistes amis ». Ils ont également décrit en détail le rôle des individus susmentionnés dans le complot visant à mener un attentat à la bombe contre le rassemblement d’Iraniens à Villepinte près de Paris le 30 juin 2018 et le complot terroriste en Albanie, rendu public par le premier ministre albanais le 19 avril 2018.

Selon le rapport de la police belge et du parquet, un certain nombre de terroristes arrêtés pour leur rôle dans le complot parisien prétendant être des partisans de l’OMPI étaient en fait la « cellule dormante » du régime depuis plus d’une décennie. Plusieurs d’entre eux ont été payés par Ahmad Zarif, le diplomate du régime basé à Paris. Assadollah Assadi, un autre diplomate du régime basé en Autriche, a personnellement remis la bombe à Amir Sa’douni (l’un des terroristes en détention en Belgique, dans l’attente de son procès pour son rôle dans le complot de Paris).

Les services de sécurité allemands et néerlandais ont rapporté au cours d’années successives que le régime iranien utilise des individus se faisant passer pour d’ « anciens membres de l’OMPI » pour mener des activités d’espionnage et préparer le terrain à des opérations terroristes.

Lors d’une conférence sur les Balkans, le 28 octobre 2019, la chargée d’affaires de l’ambassade des États-Unis en Albanie a exprimé ses préoccupations sur les actions terroristes du régime iranien contre ses opposants en Albanie.

On aurait pu s’attendre à ce qu’un reportage impartial sur le statut de l’OMPI en Albanie aborde ces questions au lieu de dramatiser les mensonges d’individus méprisables ayant vendu leur âme et leurs services au fascisme religieux au pouvoir en Iran.

En disséminant immédiatement les calomnies et les insultes de la BBC contre l’OMPI, le régime iranien tente de blanchir avec démagogie le rôle de ses agents comme Hassan Heyrani en les travestissant en « anciens membres » de l’OMPI.

Il est vraiment honteux que la BBC ait contribué à transformer une menace à la sécurité en dissident politique. L’ordre d’expulser Heyrani de l’OMPI pour des raisons de « renseignement, de sécurité et de trahison » et ses excuses écrites de sa propre main est joint ci-dessous. Le document a été fourni au tribunal en Allemagne et le journaliste de la BBC y a eu accès. Voici le lien :

https://www.iran-efshagari.com/%D8%AD%D8%B3%D9%86-%D8%AD%DB%8C%D8%B1%D8%A7%D9%86%DB%8C-%DB%8C%DA%A9-%D9%85%D8%A7%D9%85%D9%88%D8%B1-%D9%88%D8%B2%D8%A7%D8%B1%D8%AA/

Commission de la Sécurité et du contreterrorisme du
Conseil national de la Résistance iranienne
Le 7 novembre 2019