Parallèlement à la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne à Bruxelles aujourd’hui pour réviser leur politique vis-à-vis de la dictature religieuse et terroriste au pouvoir en Iran, plus de 35 000 Iraniens ont tenu un magnifique rassemblement devant le siège de l’UE, pour demander l’envoi immédiat du dossier nucléaire du régime des mollahs au Conseil de Sécurité de l’ONU et le retrait de la marque du terrorisme de la principale force d’opposition iranienne, les Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI).
Parallèlement à la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne à Bruxelles aujourd’hui pour réviser leur politique vis-à-vis de la dictature religieuse et terroriste au pouvoir en Iran, plus de 35 000 Iraniens ont tenu un magnifique rassemblement devant le siège de l’UE, pour demander l’envoi immédiat du dossier nucléaire du régime des mollahs au Conseil de Sécurité de l’ONU et le retrait de la marque du terrorisme de la principale force d’opposition iranienne, les Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI).
"Il y a deux semaines, le président des mollahs Mahmoud Ahmadinejad s’est lancé dans un discours démagogique, menaçant de mettre les nations musulmanes et la région à feu et faisant résonner les tambours de guerre pour tenter de dissimuler la situation catastrophique d’un régime sur sa fin. Son discours, un appel révoltant aux croisades, a prouvé, comme l’avait prédit la Résistance iranienne il y a quatre mois, que dû à des crises profondes et à la faiblesse fondamentale de leur régime, les mollahs ont, dans une fuite en avant, déclaré la guerre à la communauté internationale », a dit Mme Radjavi.
"Les pays occidentaux, a-t-elle ajouté, ont condamné les propos ignobles du président des mollahs. Bien qu’arrivant avec retard, la réaction n’est en aucun cas suffisante. Il est nécessaire d’entreprendre une action. Les dirigeants occidentaux restent silencieux sur le fait fondamental que le bellicisme d’Ahmadinejad est une conséquence directe de leur politique de complaisance."
Tout en soulignant qu’il “a été prouvé que tant que la dictature des mollahs sera au pouvoir, elle montrera son hostilité à la paix au Moyen-Orient et agira comme le principal obstacle à l’instauration de la démocratie en Irak”, la présidente de la République élue du CNRI a appelé à « l’envoi du dossier nucléaire de Téhéran devant le Conseil de Sécurité de l’ONU, à des sanctions contre la dictature religieuse, et à la poursuite de ses dirigeants pour crimes contre l’humanité, y compris le massacre de 30 000 prisonniers politiques en 1988, et le retrait de la marque du terrorisme du mouvement de la résistance iranienne."
Une trentaine de députés de divers pays d’Europe se sont exprimés lors de ce rassemblement, pour exprimer leur soutien à la Résistance iranienne et à sa lutte pour la liberté en Iran, et demander le retrait de la marque de terroriste de l’OMPI.
Sont notamment montés à la tribune Morten Hogland (Norvègey), Tunne Kelam (Estonie), Lord Corbett of Castle Vale (Grande-Bretagne), Lord Russell-Johnston (Grande-Bretagne), Brian Binley (Grande-Bretagne), Paolo Casaca (Portugal), le sénateur Patrik Vankrunkelsven (Belgique), Jean-Pierre Malmandier (Belgique), Karin Lalieux (Belgique), Talbia Belhouari (Belgique), La sénatrice Erika Thijs (Belgique), Dirk Claes (Belgique), le sénateur Pierre Galand (Belgique), Herman Van Rompuy (Belgique), Jaroslav Zverina (République Tchèque), Dietrich Thiede (Allemagne), Stefan Sarreach (Allemagne), Helmut Markov (Allemagne), Gereta Tuellmann (Allemagne), Ryszard Czarencki (Pologne) et Lars Rise (Norvège).
Dans une partie de son discours, Lord Corbett of Castle Vale de la Chambre des Lords britannique a déclaré que “Plus de la moitié de la Chambre des Communes britannique et 122 pairs de la Chambre des Lords demandent que l’OMPI soit retirée de la liste du terrorisme. Nous sommes les plus nombreux, pas les mollahs. Ce ne sont pas les Moudjahidine du peuple qui sont les terroristes, ce sont les mollahs. Ce n’est pas l’OMPI qui arme et entraîne les terroristes en Irak, ce sont les mollahs. Alors pourquoi est-ce que la marque du terrorisme n’est pas pendue au cou des mollahs ? C’est la Résistance iranienne qui a averti le monde que l’intégrisme islamique était une menace mondiale. Aujourd’hui cette menace se rapproche davantage. Le dossier nucléaire du régime de Téhéran doit être envoyé au Conseil de Sécurité de l’ONU.”
M. Paulo Casaca, eurodéputé portugais, a estimé qu’il était temps d’envoyer le dossier nucléaire des mollahs au Conseil de Sécurité. Il a également appelé au retrait de la marque injuste du terrorisme de l’OMPI, tout en réaffirmant son soutien à la Résistance iranienne dans sa lutte pour la démocratie en Iran.
Le député britannique Brian Binley a déclaré que « un pays qui fait ouvertement la promotion des opérations suicide et menace l’existence d’autres Etats est une menace que nous ne pouvons ignorer et avec mes collègues au Parlement britannique nos faisons tout ce qui est nécessaire pour isoler ce régime. »
Le sénateur belge Pierre Galand, premier vice-président de la commission des affaires étrangères du sénat belge, a déclaré que « mes collègues au sénat croient que l’OMPI doit être immédiatement retirée de la liste du terrorisme. »
Le député allemand, Stefan Sarreach, a exprimé son soutien à la Troisième Voie proposée par Mme Radjavi et appelé l’UE à envoyer le programme nucléaire de Téhéran devant le Conseil de Sécurité de l’ONU.
Le Président de la Commission des Affaires étrangères du Mohammad Mohadessine a déclaré « qu’il n’est plus temps d’attendre. Les mollahs répriment violemment le peuple iranien et menacent la paix dans la région et dans le monde. L’UE ne doit pas sacrifier les droits de l’homme sur l’autel d’intérêts économiques à court terme. Envoyez maintenant le dossier nucléaire de Téhéran au Conseil de Sécurité de l’ONU.”
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 7 novembre 2005