Iran libre 2023, rôle de l’Europe et de la communauté internationale

Cette page sera mise à jour

Une conférence s’est tenue le 30 juin à Paris sur le thème du soulèvement du peuple iranien pour une République démocratique. D’éminents intervenants de différents parlements européens se sont réunis pour discuter de ce sujet important. L’événement, organisé par les Amis d’un Iran libre dans de nombreux pays européens, a offert une tribune aux panélistes qui représentaient collectivement des millions d’électeurs européens. Ils ont partagé leurs points de vue sur la manière de soutenir le peuple iranien dans sa quête d’un changement de régime et la réalisation de ses aspirations à la liberté et à la démocratie.

La conférence a attiré des députés d’un grand nombre de pays, dont le Royaume-Uni, l’Italie, la République d’Irlande, la Roumanie, la Slovaquie, Saint-Marin, la Lituanie, le Portugal, l’Ukraine, le Kosovo, la Belgique, la Moldavie, Malte, l’Estonie et l’Islande.

La députée Anna Firth a exprimé le soutien de la Chambre des Communes du Royaume-Uni à un Iran libre et démocratique lors de la journée d’ouverture des rassemblements « Iran Libre 2023 » ; 30 juin 2023

Députée Anna Firth, membre de la Chambre des communes du Royaume-Uni

Ce qui se passe actuellement en Iran est diabolique, et tout ce qu’il faut pour que le mal l’emporte, c’est que les hommes et les femmes de bien restent silencieux. Je sais que je parle en votre nom à tous en disant que nous ne resterons pas silencieux face à ce qui se passe en Iran et que nous ne resterons pas silencieux au Parlement britannique.
J’espère qu’aujourd’hui nous enverrons un message clair au régime iranien : nous ne nous laisserons pas fléchir par ses menaces. Plus ils tenteront d’influencer nos gouvernements et de restreindre notre droit à la liberté d’expression et notre droit à la liberté de réunion, plus nous riposterons.

Alors que certains gouvernements tentent aujourd’hui de complaire avec le régime des mollahs au Royaume-Uni, nous pensons que le monde doit entendre la vérité. Des jeunes hommes et des jeunes femmes ont été massacrés, des manifestants ont été arrêtés et violés, et les corps ont été rendus aux familles avec des blessures si horribles que les meurtriers sont méconnaissables. Les crimes sont si horribles que nous sommes écoeurés de les entendre à haute voix. Les images sont si choquantes que nous essayons de les effacer de notre mémoire. Mais c’est le régime auquel nous sommes confrontés, et c’est avec ce régime que certains gouvernements ont l’intention d’adopter la politique de complaisance.

C’est pourquoi notre travail, aujourd’hui et tous les jours, est si important. Nous devons être la voix du peuple iranien, car c’est le peuple iranien qui gagnera cette guerre, car c’est bien de guerre qu’il s’agit. Il ne s’agit pas d’une guerre menée par un ennemi qui cherche à s’emparer de votre terre, mais d’une guerre menée par un ennemi qui cherche à priver une population entière de chacun de ses droits et de ses libertés, des droits et des libertés que nous tenons pour acquis.

Nous sommes du côté du bien contre le mal. Nous avons récemment entendu parler de l’ampleur des exécutions perpétrées par Téhéran. Nous avons vu le régime prendre des otages pour les utiliser comme outils dans des jeux politiques. Nous avons vu le régime intensifier ses efforts pour obtenir des armes nucléaires et d’autres capacités de missiles. Autant de signes, selon moi, d’un régime en déliquescence qui s’accroche désespérément au pouvoir par tous les moyens possibles.

Nous savons qu’une grande partie de la société iranienne vit aujourd’hui dans la pauvreté tandis que le Corps des gardiens de la révolution islamique (pasdaran) et d’autres hauts responsables spolient les richesses du pays. Toutefois, face à la violence du régime, le mouvement de protestation continue de prospérer. Dans toutes les régions du pays et dans tous les domaines de la vie, les Iraniens manifestent courageusement au quotidien, que ce soit sous la forme de grèves, de rassemblements ou autres.

Le mouvement en faveur d’un changement démocratique prend de l’ampleur et le rôle joué par l’opposition iranienne est significatif. Les Unités de résistance en Iran travaillent à organiser ce mouvement, à accroître sa popularité et à montrer au monde qu’il existe une alternative démocratique à ce régime et que cette alternative démocratique est incarnée par le plan en 10 points de Maryam Radjavi pour un Iran futur. Le soutien que le plan en 10 points a reçu ces derniers mois a été incroyable.

Le peuple iranien aspire au changement. Il veut une République démocratique fondée sur les principes de liberté et de démocratie énoncés dans le plan en dix points, et il rejette toute tentative de faire dérailler ses efforts avec de fausses alternatives.

Il ne s’agit pas d’une nation et d’un peuple qui veulent revenir à une autre forme de dictature. Il s’agit d’une nation et d’un peuple qui aspirent à un véritable changement, à un système fondé sur la liberté et l’égalité. Le peuple iranien se bat avec une énergie, un courage et une bravoure insurmontables.

Sénateur Marco Scurria, directeur de la Commission européenne du Sénat italien, coprésident du Groupe parlementaire italien pour un Iran libre

Quand on s’oppose à un régime comme celui des mollahs, on sait que ces actions peuvent vous conduire en prison, qu’elles peuvent vous conduire à la condamnation à mort et qu’elles peuvent vous conduire à des moments difficiles.

Aujourd’hui, le régime iranien est au cœur du terrorisme international, qui provoque des attentats dans tout le Moyen-Orient, y compris en Israël, mais aussi dans des pays européens. Et cela ne peut plus être accepté et toléré, car nous sommes ici pour rappeler au monde que Téhéran est vulnérable. Il peut tomber si la communauté internationale fait ce qu’elle est censée faire.

Nous sommes également ici pour rappeler au régime iranien que la communauté internationale ne peut pas accepter le développement d’une arme nucléaire, car nous ne pouvons pas accepter qu’un tel régime puisse avoir des armes nucléaires pour détruire ses voisins et le monde.

Nous sommes donc ici pour dire haut et fort qu’il existe un autre Iran, un Iran qui a construit la plateforme pour créer un pays démocratique et pacifique, où tout le monde est égal devant la loi.

C’est pourquoi nous rappelons également le rôle des jeunes, des jeunes femmes dans ce soulèvement iranien.

Le sénateur Gerry Horkan, membre du Sénat irlandais, vice-président de la commission des finances

Le régime a été incapable d’écraser le mouvement de protestation en Iran malgré des mois de répression meurtrière, des années de répression meurtrière, d’arrestations massives et d’exécutions. Ce qui se passe aujourd’hui dans le pays est très clairement une poussée populaire en faveur d’une révolution. Les manifestations en cours indiquent clairement que le peuple iranien rejette à la fois la dictature théocratique et un retour au régime autoritaire du Shah, et qu’il veut et a besoin d’un changement démocratique.

Le courage et la détermination du peuple iranien à réclamer un changement démocratique ont convaincu l’Union européenne, les États-Unis et le Royaume-Uni d’intensifier la pression sur le régime par le biais d’une série de sanctions. Les pasdaran ont été la principale cible de ces sanctions. Mais il est clair que les mesures punitives ne suffiront pas à empêcher le Guide Suprême Khamenei d’utiliser les pasdaran, qui est en fait son armée privée de répression et de terreur, pour se maintenir au pouvoir.

Ce qui limitera la répression intérieure du Guide Suprême et l’exportation du terrorisme, c’est de désigner les pasdaran comme une organisation terroriste, comme l’ont suggéré Madame Radjavi et le CNRI à de nombreuses reprises et comme nous l’avons souligné précédemment et aujourd’hui. En fait, la déclaration, soutenue par la majorité du Sénat irlandais, recommande la désignation des pasdaran comme l’une des mesures nécessaires dans le cadre d’une nouvelle politique ferme à l’égard de l’Iran.

La réalité est que la poussée du peuple iranien pour la révolution n’aurait pas progressé et n’aurait pas connu son ascension sans le CNRI et le leadership fort et inspirant de Mme Radjavi pendant de nombreuses années. Aujourd’hui, la réponse au renversement du régime et à l’établissement d’une République démocratique en Iran passe par les Unités de la Résistance à l’intérieur du pays et par la reconnaissance et l’approbation internationales de l’alternative démocratique présentée par Mme Radjavi et exprimée aujourd’hui par tant de personnes.

Bob Blackman MP, Membre de la Chambre des Communes du Royaume-Uni, Coprésident de la Commission international des parlementaires pour un Iran démocratique (ICPDI)
Je rends hommage à ces personnes très courageuses qui risquent leur vie chaque jour pour organiser des manifestations contre le régime théocratique qui se sont maintenant étendues à 283 villes et à chacune des 31 provinces de l’Iran. Et ce, malgré la répression violente et sévère exercée par le régime à l’encontre des slogans hostiles au régime.

Les pasdaran et d’autres groupes ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour réprimer les manifestations, que ce soit en Iran ou à l’extérieur. Aujourd’hui, l’Iran est sur le point de connaître un changement majeur, et il est vital que nous fassions pression sur les gouvernements occidentaux, sur tous les gouvernements, pour qu’ils agissent, car le fait est qu’un gouvernement agissant seul ne changera pas le régime en Iran. Il faut donc que leur politique et la nôtre changent.

L’approche laxiste de l’Occident a permis au régime de réprimer le peuple iranien, d’exporter le terrorisme et de déstabiliser le Moyen-Orient en toute impunité, encourageant l’escalade nucléaire au point que l’Iran est aujourd’hui sur le point de devenir un État nucléaire.

Imaginez la menace qui pèse sur l’Occident, sur la région et sur tous les habitants de la planète si l’Iran se dote d’une arme nucléaire. Si les gouvernements européens poursuivent cette approche, ils se dresseront contre le peuple iranien en faveur du régime. Cela nous placerait tous du mauvais côté de l’histoire et permettrait au régime de poursuivre son comportement inacceptable et illégal en toute impunité.

Nous avons maintenant besoin d’une politique ferme, qui maintienne et renforce le changement de pouvoir en faveur du peuple iranien plutôt que des mollahs et, comme la majorité des parlements et de nombreux parlementaires des pays européens l’ont souligné dans leurs déclarations du mois dernier, la base de la politique ferme de l’Occident à l’égard de l’Iran devrait être la suivante :

Premièrement, proscrire le Corps des Gardiens de la Rrévolution Islamique (pasdaran) dans son intégralité et saisir ses actifs afin qu’ils puissent être utilisés au profit du peuple iranien.

Deuxièmement, demander des comptes au régime en soumettant son épouvantable dossier des Droits de l’Homme au Conseil de sécurité des Nations unies pour qu’il engage des poursuites.

Reconnaître et soutenir le CNRI avec la plateforme démocratique en 10 points de Mme Mariam Radjavi comme l’alternative démocratique viable au régime actuel.

Emanuele Pozzolo, Commission des affaires étrangères du Parlement italien

Nous aimons la liberté en Occident, mais elle n’est pas seulement pour nous. Elle concerne l’humanité dans le monde entier. Nous devons nous lever et faire entendre notre voix dans la pratique. Ces personnes ont besoin de notre protection en Europe. Nous ne pouvons pas nous contenter de témoigner de la sympathie. Nous devons agir contre ceux qui gouvernent ce pays. Et nous devons aider ceux qui luttent pour la liberté en Iran. Il s’agit de l’OMPI.

Achraf est une plaque tournante fondamentale et une plateforme importante pour la liberté afin d’affaiblir le régime. Nous ne devons pas être timides et faire plus. Notre conscience doit être éveillée.

En tant qu’hommes politiques, nous devons agir et éveiller la conscience des gens qui nous entourent. Souvent, on nous dit de ne nous préoccuper que de notre propre pays. Mais nous devons aussi nous préoccuper de l’Iran. Aujourd’hui, l’Iran est la capitale du terrorisme international. Nous devons donc nous attaquer à ce problème.

Et nous devons soutenir les patriotes iraniens de l’OMPI. Ils sont un exemple pour nous tous en Occident. Ils sacrifient leur vie pour réaliser le rêve qu’ils ont pour leur patrie. Ils méritent non seulement notre soutien, mais aussi que nous nous tenions à leurs côtés.

Sénateur Raffaele Speranzon, membre du Sénat italien, vice-président de Fratelli d’Italia

Ce pays est gouverné par un régime qui a fait de l’Iran un pays de violence contre les civils, les dissidents et les pays voisins. Aujourd’hui, l’Iran est malheureusement le berceau du terrorisme. 120 000 exécutions ont eu lieu depuis la révolution. C’est effrayant et de nombreuses personnes sont en prison sans avoir été jugées.

Le régime tente de donner un sens sacré à ses crimes et ne cherche qu’à s’accrocher au pouvoir.

Il est important pour nous de sortir de cette salle et d’être la voix du peuple iranien à l’extérieur. Nous défendons l’humanité tout entière et ses valeurs. Les soulèvements sont la preuve que l’alternative au régime, le peuple iranien, a soif de changement. Le régime n’est pas inarrêtable et, comme tous les régimes autoritaires, il tombera.

C’est au peuple iranien de choisir qui doit le gouverner et comment. Malheureusement, le régime a rendu ce choix impossible. Le peuple n’est pas libre de déterminer son présent et son avenir. Toute demande de changement est réprimée. C’est pourquoi nous devons soutenir l’opposition démocratique au régime. C’est le plan de Maryam Radjavi. Nous avons besoin non seulement d’idées, mais aussi de personnes qui apportent ces idées et qui ont le courage de construire un consensus. Il s’agit d’une opposition démocratique.

La démocratie et la liberté sont les seules alternatives au régime actuel. Aujourd’hui, dans cette salle, nous sommes à vos côtés. Cela montre la force des valeurs démocratiques.
Tôt ou tard, la liberté sera présente dans toutes les maisons d’Iran.

Anna Záborská, membre du Conseil national de la République slovaque
J’ai rencontré des hommes et des femmes de la Résistance iranienne tous les jours. Ils travaillent sans relâche. De nombreuses résolutions parlent d’égalité et de droits, mais les autorités iraniennes ne les respectent pas.

De nombreuses femmes iraniennes ont passé des années en prison et beaucoup y sont mortes. Je ne pense pas que ce soit une coïncidence que les femmes jouent un rôle de premier plan dans l’opposition iranienne.

J’ai rencontré Mme Radjavi lors de ses visites au Parlement européen. Elle ne cesse de réclamer l’égalité et les droits des femmes.

Ce qui est triste, c’est que les États européens n’insistent pas sur les Droits de l’Homme fondamentaux dans leurs relations avec l’Iran.

Le peuple iranien attend du monde qu’il reconnaisse son droit à un changement de régime et qu’il soit de son côté et non du côté du régime. Il veut un Iran démocratique, laïque et pluraliste, basé sur le plan en dix points de Mme Radjavi.

Giuseppe Maria Morganti, député de Saint-Marin, ancien ministre de l’Education

Nous sommes heureux que notre parlement ait unanimement condamné la violence du régime et se soit rangé aux côtés des manifestants en Iran. Il existe un consensus croissant pour condamner ce régime. Nous demandons à notre gouvernement de prendre ses distances avec ce régime.

Ce régime constitue une menace terroriste. Nous devons faire preuve de solidarité avec le peuple iranien, mais aussi cesser tout échange avec le régime. Nous devons poursuivre légalement ceux qui commettent des crimes. Nous sommes en faveur d’un choix démocratique en Iran sur le plan en 10 points de Maryam Radjavi, qui appelle à des élections libres, à l’égalité des sexes et à l’abandon des armes nucléaires.

Nous regrettons ce qui se passe au niveau international. Il y a quelques ouvertures avec le régime, ce qui est décevant.

Mais nous gagnerons la bataille pour la démocratie et les Droits de l’Homme. Nous avons besoin de solidarité pour que ceux qui luttent pour la liberté sachent qu’ils peuvent compter sur les autres.

Marius Matijošaitis, député de Lituanie (Commission des affaires étrangères)

Nous sommes aux côtés du peuple iranien et de la révolution iranienne. Il était déchirant de voir le régime des mollahs envoyer des drones pour tuer des civils en Ukraine. Je salue les efforts remarquables des Unités de Résistance qui sont devenues un symbole d’espoir grâce à leurs activités à l’intérieur de l’Iran.

Plus de 750 personnes ont été tuées depuis septembre dernier et plus de 30 000 ont été arrêtées, mais cela n’a pas empêché le peuple iranien d’organiser des manifestations. Face à cette adversité, les Unités de la Résistance continuent de se déployer à travers l’Iran. Le soulèvement prend de l’ampleur, défiant toutes les attentes. Je salue ces héros qui poursuivent leurs activités.

Le peuple iranien ne s’arrêtera pas, quel qu’en soit le prix. La nation entière s’est ralliée au message de la résistance organisée.

Le CNRI nous inspire. Rejoignons-les dans leur quête de liberté en Iran.

Luis Leite Ramos, Vice-président du Groupe politique du PPE à l’APCE du Portugal jusqu’en 2022

Nous sommes fascinés par le mouvement qui lutte pour la démocratie et la justice. Ce mouvement se bat depuis quarante ans dans cette lutte. La résistance a enregistré 120 000 victimes dans cette lutte.

Nous nous battons pour toutes les femmes. Cela déclenchera une révolution culturelle en Iran et au Moyen-Orient. Maryam Radjavi dirige ce mouvement.

Elle a résisté à de nombreuses épreuves et celles-ci l’auraient minée. Elle est pleine de bonne volonté. Elle bénéficie du soutien de nombreux défenseurs de la liberté en Iran. Elle surmonte ces difficultés avec détermination. Nous sommes ici pour soutenir son plan en 10 points afin de mettre fin à l’impunité de cette dictature.

Pavel Popescu, membre de l’Assemblée des députés de Roumanie

Je déteste l’hypocrisie en politique, surtout lorsqu’il s’agit des Droits de l’Homme. Les Droits de l’Homme en Iran sont un sujet qui fait désormais partie de cette hypocrisie politique. Nous disons souvent que l’Iran envoie des drones pour tuer des gens en Ukraine.

Je sais une chose : si nous ne commençons pas à faire quelque chose au sujet de l’Iran, à le traiter sérieusement et à mettre les Droits de l’Homme au centre du débat, nous continuerons cette hypocrisie. Je suis ici pour dire que nous devons agir.

Les États-Unis sont le meilleur ami de mon pays. Aujourd’hui, en tant qu’homme politique occidental, je souhaite un peu plus de leadership et une approche concrète à l’égard de Téhéran.

Claudia Andre, députée de l’Assemblée de la République portugaise
J’ai visité Achraf 3 l’année dernière. J’ai été émue par les images et les documents relatifs aux crimes du régime et par l’esprit des femmes de l’OMPI. Les femmes sont la force motrice du changement en Iran. J’aimerais reconnaître le rôle des femmes dans la Résistance iranienne.

Je soutiens le plan en dix points de Mme Maryam Radjavi.

Anthea Elizabeth Joy McIntyre, ancienne chef de la délégation britannique à l’APCE, vice-présidente du Parti conservateur, Royaume-Uni

Nous avons souvent critiqué la façon dont l’Union européenne a mené à l’époque une politique de complaisance avec l’Iran et le régime des mollahs. Il est très important que l’Europe et la communauté internationale continuent à soutenir les demandes de démocratie, de liberté et d’égalité en Iran.

Il est merveilleux que les femmes et la jeune génération de filles soient à l’avant-garde des manifestations en Iran. Cela ne devrait pas nous surprendre, car ce sont les femmes qui dirigent l’opposition iranienne organisée, l’OMPI et le CNRI, depuis 44 ans.

Les femmes iraniennes défient chaque jour le régime par la résistance organisée et la désobéissance civile, au prix de grands sacrifices personnels. Ces femmes sont si courageuses et contrastent tellement avec les dirigeants misogynes de l’Iran.

Le régime des mollahs considère clairement les femmes et les jeunes filles comme une menace sérieuse pour sa mainmise sur le pouvoir, et les réduit donc à des citoyennes de seconde zone, tant dans la loi que dans la pratique. Le mouvement de Résistance iranien, le CNRI, au contraire, considère les femmes et les filles comme la force motrice du changement et les garantes d’une République libre, démocratique et laïque.

Mme Radjavi et son programme démocratique en 10 points transformeront l’Iran et le Moyen-Orient s’ils sont mis en œuvre, car ils donnent aux femmes la possibilité de façonner l’avenir de leur pays.

Il est vraiment encourageant d’entendre des parlementaires de nombreux pays européens soutenir ce mouvement dans leurs déclarations.

Tant que le régime iranien actuel sera au pouvoir, l’Iran sera synonyme de violation des Droits de l’Homme, de torture, d’exécutions massives et de terrorisme. Cela ne représente en rien le peuple iranien ou ses aspirations. Le peuple iranien souhaite renverser le régime et instaurer une République laïque et démocratique. C’est ce que montrent les manifestations contre le régime. La communauté internationale doit donc en prendre conscience et se ranger aux côtés du peuple iranien et de Mme Radjavi pour que ce jour arrive le plus tôt possible.

L’UE et le Royaume-Uni ont la responsabilité et le devoir moral de demander des comptes aux mollahs et de les traduire en justice. Ils peuvent le faire de plusieurs manières : en renvoyant le régime devant le Conseil de sécurité de l’ONU, en reconnaissant Mariam Radjavi et son programme en 10 points comme une alternative démocratique évidente au régime, en aidant les Iraniens et la Résistance iranienne qui cherchent à obtenir justice dans le cadre de la juridiction universelle en Europe.

Et surtout, ils peuvent bannir le Corps des gardiens de la révolution islamique (pasdaran) et l’inscrire sur la liste des organisations terroristes.

Andriy Osadchuk, Membre du Parlement ukrainien

En mai, la Russie a utilisé plus de 300 drones kamikazes contre l’Ukraine. Ils ont tous été fabriqués en Iran. À ce jour, des milliers de drones iraniens ont été envoyés en Ukraine. Pour nous, le régime iranien n’est pas un régime totalitaire parmi d’autres. Il est l’ennemi de l’Ukraine.

Nous ne voulons pas seulement chasser la Russie de l’Ukraine. Nous voulons établir un modèle de droit qui ne permettra pas à ces atrocités de se reproduire. Il s’agit notamment de traduire en justice tous ceux qui ont participé et aidé à commettre ces crimes.

Nous ne pardonnerons ni n’oublierons jamais. Et nous ferons de notre mieux pour les tenir pour responsables.

Ce qui se passe en Ukraine est le résultat de nombreuses erreurs commises par le monde libre au cours des dernières décennies. Au cours de ces dernières décennies, le monde libre a élaboré de nombreuses règles qui interdisent de faire des affaires avec des trafiquants de drogue, des pots-de-vin, etc. Mais pendant toutes ces années, il a été autorisé à faire des affaires avec des régimes totalitaires.

La conclusion est simple. Il est impossible de coopérer avec le mal. Si vous le faites, vous renforcerez le mal, comme c’est le cas en Ukraine.

Lorsque vous développez et faites la promotion des politiques étrangères, soyez durs, courageux et ayez une tolérance zéro envers les dictatures, et ce pour une seule raison. Si nous voulons offrir à nos enfants un monde de liberté et de sécurité, aucun compromis n’est acceptable.

Steve McCabe, député à la Chambre des communes du Royaume-Uni, coprésident du Comité britannique pour la liberté de l’Iran, ancien whip du Parlement

Nous savons tous que ce régime est en train de s’effondrer et qu’il est désespéré. Mais cela ne signifie pas qu’il va abandonner. Il continue, jour après jour, à produire du matériel pour laver le cerveau des gens. Il a créé des centaines de documentaires et d’émissions de télévision pour laver le cerveau de la population et de la communauté internationale. Il crée de la propagande pour dénigrer l’OMPI et l’opposition.

Nous sommes ici parce que nous ne sommes pas dupes des mollahs. Nous continuerons à soutenir le peuple iranien jusqu’à ce que nous voyions le jour où l’Iran sera libre ».

Giangiacomo Calovini, membre de la commission des affaires étrangères du Parlement italien

Nous ne pouvons plus accepter ce qui se passe en Iran. L’Iran est un pays où les Droits de l’Homme ne sont pas respectés. Nous devons faire en sorte que l’Iran redevienne ce qu’il était. Nous assistons à des actes de violence de la part du régime et des personnes qui luttent contre cette violence.

Le pays a été secoué par de fortes manifestations et un vent de changement. Nous devons absolument soutenir ces manifestations. Des journalistes et des blogueurs ont été arrêtés arbitrairement par le régime.

Le régime utilise les médias pour diffuser une propagande mensongère contre l’opposition.

Nous devons faire de notre mieux pour que la voix du peuple iranien soit entendue dans le monde entier.

Adrian Belîi, député de Moldavie

Aujourd’hui, la civilisation humaine a atteint un niveau tel qu’elle peut renoncer aux actes agressifs contre les autres. Nous sommes tous des êtres humains dotés de droits fondamentaux. Nous avons le même désir d’un avenir sûr et stable.

Certains dirigeants du monde utilisent la peur, la torture, le terrorisme, la corruption et le génocide contre leur propre peuple. Nous savons ce que les Russes font en Ukraine avec l’aide d’autres pays, dont le gouvernement iranien. L’assassinat de Mahsa Amini l’année dernière a donné lieu à des manifestations contre le régime.

Ce soulèvement reflète le profond mécontentement de l’ensemble de la société à l’égard de ce régime criminel et corrompu. 80 % des Iraniens vivent dans la pauvreté à cause du régime. L’inflation atteint 50 %. L’Iran est confronté à une fuite des cerveaux, les étudiants quittant le pays pour de meilleures opportunités.

Le régime considère le peuple iranien comme un ennemi. Le peuple demande un changement démocratique. Nous devons soutenir cette demande légitime. Le plan en dix points de Mme Radjavi soutient cet avenir de liberté et de démocratie en Iran.

Ivan Bartolo, député de Malte

La Résistance n’a jamais dévié de son objectif d’établir la liberté et la démocratie en Iran. Ils sont prêts à en payer le prix et le programme du CNRI prévoit des élections dans les six mois suivant le renversement du régime pour établir un nouvel État. Le MEK dispose d’un vaste réseau d’unités de résistance à l’intérieur de l’Iran et le CNRI a la capacité de créer un front uni d’opposition avec une variété de points de vue.

Nous sommes certainement sur la bonne voie avec un soutien international pour les objectifs du CNRI, qui bénéficie désormais du soutien de plus de 3 600 parlementaires.

Sensibiliser est notre devoir, exhortant nos gouvernements à changer leur politique envers le régime. La seule véritable prison est la peur, et la seule véritable liberté est l’absence de peur.

Mark Williams, ancien député britannique

Le monde n’est pas un endroit sûr lorsque le régime est prêt à faire tout ce qu’il peut pour conserver le pouvoir. Nous devons avoir à l’esprit les sacrifices courageux depuis septembre et au cours des 43 dernières années. Notre présence illustre notre détermination à faire la lumière sur l’un des régimes les plus répréhensibles. Nous nous rallions au CNRI. La révolution en Iran est inévitable. Le régime doit comprendre que le fleuve de la résistance continuera de couler jusqu’à ce qu’il atteigne sa destination. L’histoire nous a appris que l’apaisement n’arrêtera jamais les dictateurs. Il en va de même pour les dictateurs en Iran. Les gouvernements européens ne doivent pas répéter les erreurs du passé.

Ils doivent proscrire le CGRI, l’organe du terrorisme. L’IRGC est le nouveau SAVAK. En 1979, un régime déplorable a été remplacé par quelque chose de bien pire.

Nous devons insister sur la visite d’experts des droits de l’homme dans les prisons du régime. Nous devons exhorter la cour pénale internationale à tenir les dirigeants du régime responsables de leurs crimes. Leurs crimes ne seront jamais oubliés.

La cause de la liberté et de la démocratie est imparable. La cause de la justice ne sera pas compromise. Le plan en 10 points offre une offre équitable.

Elisabetta Zamparutti, ancienne membre de la Chambre des députés d’Italie

Nous avons compté 386 exécutions en Iran par Ebrahim Raisi. Il était l’un des membres de la « Commission de la mort » qui a massacré plus de 30 000 prisonniers politiques en peu de temps. La mort est la proposition de ce régime à son propre peuple et au reste du monde.

En Occident, nous considérons l’Iran comme une menace pour la sécurité internationale à cause de ses armes nucléaires. Mais c’est une menace pour le monde à cause de son comportement envers son propre peuple.

L’Iran n’est pas un élément de stabilité pour la région du Moyen-Orient, c’est un élément d’instabilité. Nous devons connaître nos responsabilités en Occident face à ce régime. Qu’avons-nous ou n’avons-nous pas fait dans ce pays ? Nous avons la responsabilité d’éviter l’apaisement.

En tant qu’individus et communautés, nous devons créer un espace pour l’état de droit. La politique d’apaisement envers l’Iran a toujours une revendication : le chef de l’OMPI. Pourquoi ont-ils une telle peur du MEK ? Parce qu’ils représentent un changement fondamental. Cela montre à quel point cette organisation est considérée comme l’ennemi numéro un de ce régime.

Cette organisation a un programme, le plan en 10 points. Et la Résistance se bat depuis 44 ans. Cette organisation risque quotidiennement leur vie pour la liberté. Nous l’avons oublié en Occident. Sommes-nous prêts à sacrifier notre vie pour la liberté ? Donc, nous devons clairement les soutenir.

La Résistance iranienne veut assurer le bien-être du peuple iranien.

Marica Montemaggi, députée de Saint-Marin

Le peuple a montré sa force pour changer les choses. Les sacrifices ont été énormes. Des femmes et des hommes risquent leur vie pour la liberté. Ils veulent changer la dictature. Nous avons le CGRI qui tue des gens pour réprimer la révolte. Nous assistons à des exécutions de personnes. Si le gouvernement était fort, il n’aurait pas recours à de telles choses. L’histoire de mon pays montre à quel point la liberté et l’État de droit sont fondamentaux.

Nous pourrons donner force et espoir aux millions d’Iraniens qui aspirent à la liberté. Nous voulons que les rues d’Iran célèbrent la chute du régime. Mais une chose est claire, il devrait y avoir une alternative qui vienne de l’unité et de la démocratie et donne la possibilité d’une transition. Nous devons nourrir leur force, afin que ce changement devienne réalité. C’est ce que représente le plan en 10 points de Maryam Radjavi : toutes les forces de la démocratie.

Nous sommes ici aujourd’hui et chaque jour pour soutenir le peuple qui sacrifie sa vie pour parvenir à un Iran libre et démocratique.

Carlo Riva Vercellott , député italien de la province de Turin

Nous soutenons les femmes iraniennes qui se battent pour leur avenir. Le régime iranien tue et viole des femmes pour qu’elles n’aient plus de place et d’espace dans la société. Je pense que l’Iran a un énorme potentiel. Mais les nombreuses violations des droits de l’homme limitent fortement ces potentiels. Ils limitent la prospérité culturelle et économique de ce pays.

Les femmes iraniennes sont une source inépuisable de courage et de résilience. Ils inspirent de nombreuses personnes dans leur cheminement. Ils ne sont pas seuls aujourd’hui. La communauté internationale est à leurs côtés. Nous ressentons le besoin et le devoir de les soutenir. Nous avons adopté une loi et menons différentes initiatives pour soutenir cela. Nous disons à tous ces jeunes, soyez forts, nous sommes avec vous pour le Plan en 10 points.

Jim Higgins, ancien vice-président d’EEP au Parlement européen

Les conséquences de la victoire pour l’Ukraine seront multiples, tout d’abord, la démocratie et la liberté ; liberté de l’assujettissement. Mais aussi, du point de vue d’enfoncer une flèche en plein cœur du régime iranien, qui fournit les drones kamikazes que les attaques quotidiennes réalisent indépendamment des tentatives manifestes de les contrecarrer et de les éliminer. Gagner cette guerre va être un coup dur pour le régime iranien.

Avoir le plan en 10 points de Mme Maryam Radjavi est un plan qui va délivrer l’Iran des mains et de la tyrannie des mollahs et rendre l’Iran au peuple. Du point de vue de l’apaisement, et on a beaucoup entendu parler d’apaisement, je ne comprends pas l’apaisement. Je ne comprends pas pourquoi nous avons des ambassades. Ils devraient être les mêmes que cela s’est produit avec la Russie. Ils doivent être considérés comme des parias et isolés sur la scène mondiale.

Juku-Kalle Raid, membre de la commission des affaires étrangères du Parlement estonien

Maryam Radjavi est plus capable de faire n’importe quoi que n’importe qui d’autre. Nous espérons silencieusement que la dictature mourra bientôt. Le massacre des gens se terminera bientôt. La démocratie devra gagner. Et il gagnera bientôt. La censure va bientôt prendre fin.

Plus de 40 ans se sont écoulés depuis le début de ce régime. Pourtant, nous espérons que cela se terminera bientôt. Les gens sont dans la rue encore et encore. Les gens réclament à nouveau la liberté. Nous savons que cela continuera tant que durera la dictature.

Il faut reconnaître que ces dictatures sont les branches d’un même arbre. Tout le monde sait que Poutine est un criminel de guerre. Mais qu’en est-il des rues de Téhéran et des soulèvements là-bas ? Nous sommes ici pour ne pas nous taire. Nous ne devons pas oublier que ce qui est important, c’est ce que nous faisons et disons après notre retour dans nos pays.

Antonio Tasso, ancien membre de la Chambre des députés d’Italie

Il faut rappeler les atrocités perpétrées en Iran. Le régime commet des atrocités contre toute forme de dissidence et de protestation. Les démocraties occidentales n’ont pas toujours la bonne attitude envers ceux qui souffrent. Ils apaisent ces régimes pour ce qu’ils font, pour leur attitude. Mais ils ne les condamnent pas de manière efficace. Ils négocient maintenant avec le régime théocratique pour réduire sa prolifération nucléaire et multiplient les exigences. Le régime exige que le MEK soit délégitimé. A l’intérieur de l’Iran, la situation s’aggrave. Il y a la pauvreté et l’inflation. Le régime intensifie la répression. Cela conduira à plus de troubles par le peuple iranien.

L’Occident doit faire le bon choix. Mme Radjavi représente le seul espoir pour l’avenir de l’Iran avec le plan en 10 points.

Le sénateur Roberto Rampi, ancien membre du Sénat italien

L’Iran compte le plus d’exécutions. Il tue des mineurs. Il fait le show de ses exécutions. Mais l’Iran est aussi le point de départ de nombreux éléments d’instabilité. Elle finance des groupes terroristes au Moyen-Orient et en Europe. Les mollahs dénaturent l’Iran.

C’est un tournant. Ce qui s’est passé en Iran ces derniers mois a créé les conditions pour que le régime s’effondre. Il ne devrait pas recevoir d’aide de l’extérieur. Il ne devrait y avoir aucun apaisement pour ce régime. Ce qui s’est passé la semaine dernière est inquiétant. Nous devons construire une alternative démocratique pour l’Iran.

La plateforme de Maryam Radjavi veut donner au peuple le pouvoir de la démocratie et du pluralisme. Nous sommes ici pour dire que le plan en 10 points et ce qui a été créé par cette organisation est une réelle chance de créer un véritable avenir pour l’Iran. C’est ce dont on a besoin non seulement en Iran mais aussi dans le monde.

L’Iran doit avoir une démocratie. Mais les Iraniens choisiront ce qu’ils veulent.

Naike Gruppioni, membre de la Chambre des députés d’Italie

Après 40 ans, le rêve de liberté doit devenir réalité. Ce sommet est un récit d’éveil par des gens très courageux. C’est la révolution la plus courageuse du Moyen-Orient. Le peuple iranien est très courageux et ne recule pas devant la répression du régime. Après la mort de Mahsa Amini, des milliers de personnes sont descendues dans les rues. Mais cette fois, c’était beaucoup plus inclusif.

Aujourd’hui, le cri de douleur est entendu de tous. Les femmes iraniennes sont devenues le reflet de la fragilité du régime. On voit la différence entre l’idéologie du régime et les aspirations du peuple.

Nous devons tous savoir que le monde ne doit pas oublier la contribution que l’Iran libre peut apporter au monde.

Bruno Coimbra, député de l’Assemblée de la République portugaise

Nous sommes venus ici pour exprimer notre soutien à la Résistance iranienne. Les droits de l’homme en Iran sont catastrophiques. Les statistiques d’exécutions révèlent la gravité de la situation. Le peuple iranien ne doit pas rester seul. Nous devons nous tenir à leurs côtés, contre la violence, contre l’oppression et pour la démocratie. Assez avec le silence envers le régime. Nous soutenons le plan en 10 points de Mme Maryam Radjavi. Je soutiens le CNRI en tant qu’alternative démocratique.

Hugo Martins de Carvalho, député de l’Assemblée de la République portugaise

La violence en cours en Iran nous a tous choqués. Les jeunes sont soumis à la torture et au meurtre. Il n’est pas acceptable de se faire tirer dessus pour avoir rêvé ou pour avoir voulu changer. Le peuple iranien continuera à se battre. Ce que je peux offrir, c’est un engagement à faire venir plus de membres du parlement, à agir chez nous et à diffuser le message.

Bryndis Haroldsdottir, député islandais, président du Comité général de l’armée et de l’éducation, président du Conseil nordique

Je suis honorée de soutenir le mouvement Iran libre et les femmes iraniennes qui se battent pour l’avenir de leur pays. Le dévouement et les sacrifices des Iraniennes ont coûté très cher. Pourtant, ils ont survécu et continuent de montrer leur détermination au monde. Le peuple iranien est toujours soumis à la violence brutale du gouvernement. Les libertés fondamentales des individus sont nécessaires pour alimenter la créativité et l’innovation humaines. L’égalité des sexes ne sera atteinte que lorsque les stéréotypes seront surmontés.

Sans égalité des sexes, il n’y aura pas de développement durable, pas d’économie et pas de démocratie.

Sir Alan Meale, membre honoraire du Parlement britannique de Pace

Nous savons tous que ce régime est défaillant et que ses jambes ne sont pas là pour durer très longtemps. Mais les pièces qui ont été perdues dans le chagrin qui a été apporté prendront des générations à être réparées et ce que je dis, c’est que nous devrions finaliser cela et terminer cela et continuer le travail de ce qui prendra encore des générations.

Vous voyez des parlements du monde entier aligner suffisamment de parlementaires du monde entier pour soutenir un Iran libre. Les parlementaires sont là, les organisations sont là, mais les gouvernements hésitent pour une raison ou une autre à le faire.

Mais la seule chose que j’ai examinée au cours des dernières années a été impliquée dans cela, que le plan le plus solide de tous est en train d’être rédigé par Madame Radjavi. C’est absolument excellent et pertinent.