
Paris, France – Une conférence internationale influente s’est tenue à Paris samedi, réunissant des parlementaires et des personnalités politiques de premier plan de nombreux pays, dont le Royaume-Uni, le Canada, l’Irlande, Malte, la Suisse, la Roumanie, le Portugal et les Pays-Bas. Le thème de la réunion était l’urgente nécessité d’une nouvelle politique internationale résolue à l’égard du régime iranien, mettant l’accent sur le soutien au changement démocratique et la reconnaissance du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) comme une alternative viable au régime actuel.
Cet événement a constitué une tribune importante pour les parlementaires du monde entier pour exprimer leurs inquiétudes face à la détérioration de la situation des droits humains en Iran, à l’escalade de la répression intérieure, aux activités déstabilisatrices du régime dans la région et à la poursuite du programme nucléaire militaire. Tout au long de la conférence, un appel récurrent a été lancé aux gouvernements occidentaux pour qu’ils adoptent une position plus ferme, notamment en interdisant le Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI ou pasdaran) en tant qu’organisation terroriste.
Discours dans une conférence « Iran Libre 2025 » : vers une république démocratique
«Ce régime a pris en otage la liberté du peuple iranien, la paix au Moyen-Orient et la sécurité du monde. »
Notre projet est d'établir une république fondée sur la séparation de la religion et de… pic.twitter.com/tqd2g5J4IW— Maryam Radjavi (@Maryam_Rajavi_F) 17 mai 2025
Maryam Radjavi, présidente élue du CNRI, a salué les dignitaires internationaux pour leur soutien indéfectible au changement démocratique en Iran. Elle a affirmé que quatre décennies de complaisance envers le régime iranien n’avaient fait qu’entraver les progrès, soulignant que le régime était fondamentalement incapable de se réformer. « La dictature religieuse au pouvoir en Iran est la source du terrorisme et du bellicisme dans la région », a déclaré Mme Radjavi, soulignant que le régime ne cesserait pas ses pratiques répressives, ses ambitions nucléaires ni son ingérence régionale, car ces éléments sont essentiels à sa survie.
Elle a souligné la crainte du régime face aux soulèvements populaires et la volonté du peuple iranien et de sa Résistance organisée d’apporter le changement. « La véritable solution réside dans le renversement du régime par le peuple iranien et la Résistance iranienne », a déclaré Mme Radjavi, présentant le CNRI et sa composante principale, l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK), comme une alternative démocratique dotée d’un projet clair pour une république fondée sur la séparation de la religion et de l’État, l’égalité des sexes et un Iran non nucléaire. Elle a appelé les pays européens à « ajouter le Corps des gardiens de la révolution (CGRI) à la liste des organisations terroristes », à « activer le mécanisme de snapback prévu par la résolution 2231 du Conseil de sécurité de l’ONU et rétablir les résolutions antérieures du Conseil de sécurité de l’ONU sur les projets nucléaires du régime.
At the #FreeIran2025 Conference, a senior UK parliamentary delegation presented a book signed by a majority of members from both the House of Commons and the House of Lords—over 500 lawmakers—supporting the Iranian people, the NCRI, and Maryam Rajavi’s 10-point plan for a… pic.twitter.com/GwS2TBjCwE
— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
Le député Bob Blackman, président du Comité 1922, à l’origine d’une déclaration signée par 560 parlementaires britanniques, a souligné l’impérieuse nécessité d’un changement de politique. « Il est temps de changer de cap en matière de politique iranienne. Nous devons aligner notre politique sur les changements majeurs intervenus en Iran et dans la région. Nous devons soutenir le peuple iranien et la résistance organisée, menée par Maryam Radjavi et son Plan en dix points », a-t-il déclaré.
M. Blackman a présenté un livre signé par plus de 190 députés soutenant un Iran libre et le Plan en dix points du CNRI. Il a réitéré son appel au gouvernement britannique pour qu’il proscrive le CGRI, citant ses activités terroristes, notamment un complot récemment déjoué au Royaume-Uni. Il a affirmé : « Les seules relations diplomatiques dont nous avons besoin sont celles avec le CNRI, Mme Radjavi et le peuple iranien.» Il a exprimé un grand espoir pour l’avenir : « L’année prochaine, nous allons vers un Téhéran libre et démocratique.»
L’ancien ministre britannique, David Jones, a souligné le rôle crucial du CNRI dans la révélation du programme nucléaire clandestin du régime iranien. Il a critiqué la politique de complaisance de l’Occident depuis des décennies, soulignant que « malgré plus de deux décennies d’efforts diplomatiques, l’Iran possède désormais suffisamment d’uranium pour fabriquer de multiples armes nucléaires, ce qui constitue un échec majeur de la diplomatie occidentale. » M. Jones a souligné l’urgence d’activer le mécanisme de snapback prévu par la résolution 2231 du Conseil de sécurité de l’ONU , déclarant : « Si l’Occident souhaite réellement stopper l’Iran doté de l’arme nucléaire, les E3, c’est-à-dire le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France, doivent déclencher sans délai le mécanisme de retour (Snapback) prévu par la JCPOA. » Il a exhorté les gouvernements occidentaux à reconnaître les aspirations démocratiques du peuple iranien, à soutenir le Plan en dix points de Mme Radjavi et à dialoguer avec le CNRI en tant qu’opposition démocratique légitime.
La baronne O’Loan a affirmé que la répression sévère exercée par le régime, notamment contre les femmes, témoigne de sa crainte d’un nouveau soulèvement. Elle a salué le leadership de Mme Radjavi et la Déclaration en dix points du CNRI, qui constitue la feuille de route vers une république libre. Présentant un livre de la Chambre des Lords, elle a annoncé que « plus de 330 membres de la Chambre des Lords ont signé aujourd’hui l’approbation parlementaire de la déclaration pour la liberté de l’Iran ».
La baronne O’Loan a condamné le nombre record d’exécutions et la fatwa nucléaire mensongère du régime, appelant le Royaume-Uni à proscrire le CGRI. « Le Royaume-Uni doit désormais proscrire le CGRI en tant qu’organisation terroriste », a-t-elle exhorté, se réjouissant d’accueillir bientôt Mme Radjavi à Westminster en tant que présidente d’un Iran libre.
L’ancien député Mark Williams a rendu hommage au courage des Iraniens qui luttent pour la liberté et a salué le leadership de Mme Radjavi. « Lorsque l’histoire de la future république démocratique iranienne sera écrite, elle retiendra comment vous et Massoud Radjavi vous êtes organisés, avez mené la cause, mené l’opposition , mené une résistance déterminée et construit une alternative démocratique viable », a-t-il déclaré. Il a souligné le rejet par le peuple iranien de la dictature du Shah et de la tyrannie religieuse actuelle, en citant des slogans issus des soulèvements. M. Williams a vivement plaidé en faveur de l’interdiction du CGRI, déclarant : « S’il y a bien une raison d’interdire une organisation pour terrorisme, c’est bien le CGRI. »
At the #FreeIran2025 Conference, 🇬🇧 Welsh politician @WmPowell2021 expressed firm support for the Iranian people and the NCRI.
He endorsed Maryam Rajavi’s 10-point plan as a democratic roadmap and called for international unity against the regime’s repression. pic.twitter.com/RHOpN4uBXu
— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
William Powell, député gallois, a exprimé sa solidarité avec le peuple iranien et a souligné le soutien des parlementaires gallois au Plan en dix points du CNRI. « Ce qui nous unit aujourd’hui dans cette salle, c’est la conviction que l’Iran sera bientôt et encore libre. Et il le sera grâce à Madame Radjavi et au programme de gouvernement, le Plan en dix points », a-t-il déclaré. Il a souligné l’importance de la communauté d’Achraf 3 et a exhorté les gouvernements démocratiques à reconnaître la légitimité du gouvernement provisoire du CNRI et à résister aux « négociations naïves et frivoles avec le régime actuel ».
L’ancien député britannique Martyn Day s’est exprimé en tant que militant des droits humains, condamnant le recours généralisé à la peine de mort par le régime iranien, le qualifiant de « terrorisme d’État ». Il a salué le courage des unités de résistance iraniennes et des militantes, plaidant pour une politique étrangère fondée sur des principes. « Au cœur de cette politique doit se trouver le soutien à l’alternative démocratique iranienne, c’est-à-dire vous-même, Madame Radjavi, et au CNRI », a-t-il déclaré, soutenant pleinement le Plan en dix points. Il a appelé à la reconnaissance du CNRI, à la désignation du CGRI comme groupe terroriste et à la création d’un tribunal international pour les crimes du régime.
At #FreeIran2025, 🇬🇧 MP @MartinVickers voiced strong support for Maryam Rajavi’s 10-point plan and the growing movement in Westminster backing a free Iran. “If we keep up the pressure, we will secure democracy and freedom in Iran."
#en_simayazadi pic.twitter.com/ORnNmwOMx4— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
Le député britannique Martin Vickers a exprimé son soutien croissant à un Iran libre et au Plan en dix points de Mme Radjavi. « Si nous maintenons la pression, nous garantirons la démocratie et la liberté en Iran. Alors, avançons vers un Iran libre dès maintenant », a affirmé M. Vickers, s’engageant à soutenir les initiatives en faveur d’un Iran libre au Parlement de Westminster.
Lord Dholakia, un partisan de longue date, a cité un exemple de la Commission mixte des droits de l’homme du Parlement britannique ayant entendu le témoignage d’un membre de la Résistance iranienne concernant des menaces de mort proférées par le régime. Il a exhorté le gouvernement britannique à collaborer avec ses alliés pour saisir le Conseil de sécurité de l’ONU du dossier des droits de l’homme de l’Iran et soutenir la création d’un tribunal spécial de l’ONU pour l’Iran.
At the #FreeIran2025 Conference, 🇷🇴 Petre Roman, Romania’s first post-communist PM, drew parallels with Iran’s struggle:
“In 1989, we rose against dictatorship—and won. The same will happen in Iran.”
He declared “Freedom always prevails—much sooner than tyrants believe.” pic.twitter.com/o9TEXugm00— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
L’ancien Premier ministre roumain Petre Roman a établi des parallèles entre la lutte contre la dictature de Ceausescu et la lutte actuelle en Iran. Il a rappelé combien le soutien international, comme le mouvement « Sauvons les villages roumains », était crucial pour les Roumains. « Soudain, nous avons compris que nous n’étions pas seuls. Que des gens étaient avec nous et nous soutenaient », a-t-il rappelé. Il a décrit le régime iranien comme étant confronté à un « dilemme insoluble » concernant son programme nucléaire et sa survie économique, concluant que sa fin était proche. Il a affirmé : « Avec le CNRI et sous la direction de la présidente Radjavi, l’avenir d’un Iran libre se prépare actuellement. »
At the #FreeIran2025 Conference, 🇨🇦 MP @honjudysgro declared: “The Iranian people have chosen freedom. We must stand with them.”
She condemned mass executions, praised the NCRI’s exposure of regime crimes, and called Maryam Rajavi’s 10-point plan a true roadmap to democracy.… pic.twitter.com/KLODdjKYhA
— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
Judy Sgro, ancienne ministre canadienne et actuelle députée, a reconnu le rôle essentiel du CNRI dans la dénonciation des méfaits du régime iranien à l’échelle mondiale. « C’est grâce au travail du CNRI que ces faits sont révélés. Je vous en remercie infiniment, car vous parlez de sauver des milliers de vies en révélant précisément ce qui se passe là-bas », a-t-elle déclaré. Elle a réaffirmé le soutien du Canada aux aspirations du peuple iranien à une république démocratique, rejetant les dictatures monarchiques et théocratiques, et a salué le plan en dix points de Mme Radjavi. Elle a fièrement rappelé la désignation du CGRI comme organisation terroriste par le Canada et a exhorté les autres pays, dont le Royaume-Uni, à suivre son exemple.
Janice Chetcuti, députée maltaise, a exprimé son ferme soutien au peuple iranien et au CNRI, exhortant la communauté internationale à mettre fin à des décennies d’impunité. Elle a salué le courage des femmes iraniennes et des unités de résistance dirigées par l’OMPI, qualifiant leur lutte de combat commun pour la liberté et la justice. Chetcuti a soutenu le Plan en dix points de Maryam Radjavi, qu’elle considère comme une alternative démocratique claire, et a exhorté l’UE à reconnaître le CNRI, déclarant : « Présidente Radjavi, nous sommes de tout cœur avec vous.»
At the #FreeIran2025 Conference, 🇨🇦 Senator @SenMacDonald called for global support of the Iranian Resistance:
“The NCRI offers a democratic path forward. Supporting it is essential for a free Iran and peace in the region.”
He condemned mass executions and praised the courage of… pic.twitter.com/pJypA5E60u— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
Le sénateur canadien Michael L. MacDonald a qualifié l’Iran de berceau de la civilisation et a exprimé son espoir de voir l’Iran se libérer de la tyrannie. Il a condamné les atrocités commises par le régime, notamment plus de 1 145 exécutions en huit mois sous la présidence actuelle de Massoud Pezeshkian, ainsi que le pillage des richesses nationales à des fins terroristes et nucléaires. « Je suis profondément ému par le courage remarquable dont font preuve les prisonniers politiques dans 41 prisons du pays, qui persistent à protester contre la peine de mort », a-t-il déclaré. Il a présenté le CNRI et le Plan d’action en dix points de Mme Radjavi comme une alternative démocratique viable, bénéficiant d’un large soutien international, et a salué la désignation du CGRI par le Canada.
Peter Cleere, député irlandais, a exprimé son ferme soutien au peuple iranien et au CNRI, soulignant la responsabilité partagée de lutter contre la répression et la dictature. Il a appelé à la désignation du CGRI comme organisation terroriste, affirmant qu’il ne s’agit pas d’une organisation symbolique, mais d’une nécessité pour la justice. Cleere a salué la vision profondément humaine de Maryam Radjavi et du CNRI, centrée sur la liberté, l’égalité et le respect, et a souligné que le véritable changement doit venir de l’autonomisation des Iraniens eux-mêmes. Exprimant l’espoir d’un Iran démocratique de notre vivant, il a affirmé : « Nous, députés du Parlement et du Sénat irlandais, serons toujours à vos côtés. »
At #FreeIran2025, 🇮🇪 Senator @GCraughwell praised Maryam Rajavi’s 10-point plan as “a foundation any democracy would be proud of.”
He urged the EU & UN to act: “The time for talking is long over. Iran has a future—and it's under your leadership.”#en_simayazadi pic.twitter.com/iOego4vGKx— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
Le sénateur irlandais Gerard Craughwell a décrit le régime iranien comme une dictature fondée sur la violence et la peur, soulignant les plus de 1 100 exécutions survenues depuis l’été dernier. Il a salué le courage des unités de résistance de l’OMPI et a salué le Plan en dix points de Mme Radjavi, le qualifiant de « plan en dix points dont toute démocratie serait fière de s’inspirer ». Il a appelé l’UE à prendre des mesures contraignantes, déclarant : « Le temps des discussions est révolu. » Il a exhorté le peuple iranien : « Vous devez vous lever, rassembler les citoyens iraniens et dire stop. »
Ivan J. Bartolo, député maltais, a exprimé son soutien indéfectible à la Résistance iranienne, évoquant sa visite à Achraf 3 comme une expérience transformatrice qui a profondément marqué la lutte pour la liberté iranienne. Il a décrit le Musée de la Résistance iranienne comme un lieu sacré honorant le sacrifice et l’esprit inébranlable, et a condamné le recours aux exécutions de masse et à la répression par le régime, signe de sa peur du peuple et du CNRI. Bartolo a appelé à la fin de la politique d’apaisement, exhortant les gouvernements européens à inscrire le CGRI sur la liste noire et à reconnaître le CNRI comme la seule alternative démocratique viable, ancrée dans les valeurs iraniennes. Saluant le Plan en dix points de Maryam Radjavi, qu’il considère comme une feuille de route pour la liberté, la justice et l’égalité, il a réaffirmé le soutien constant de Malte et s’est engagé à poursuivre son action jusqu’à la libération de l’Iran.
At #FreeIran2025, 🇮🇪 MP @JamesOConnorTD delivered a strong message: “The Iranian regime cannot be trusted. It fears not weapons—but ideas and vision.”
He praised Mrs. Rajavi’s 10-point plan as a real path to freedom & urged the EU to engage directly with the NCRI. #en_simayazadi pic.twitter.com/HyQvxngIxz— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
Le député irlandais James O’Connor a exprimé son respect pour la résistance iranienne et sa confrontation avec un régime brutal. Il a déclaré : « Soyons clairs. On ne peut pas faire confiance au régime de Téhéran », évoquant ses violations des accords internationaux et sa prolifération nucléaire. Il a souligné les révélations du CNRI sur des activités d’armes secrètes. M. O’Connor a condamné le ciblage des partisans de l’OMPI par le régime et a affirmé que le Plan en dix points de Mme Radjavi « offre une véritable voie vers la liberté, l’unité et un transfert pacifique du pouvoir ». Il a appelé l’UE à modifier sa politique et à engager un dialogue avec le CNRI.
At #FreeIran2025, 🇮🇪 Senator @catherineanoone reaffirmed Ireland’s long-standing support for the Iranian people. “The fight for basic rights and the separation of religion and state is fundamental. We in Ireland stand with you—always.” #en_simayazadi pic.twitter.com/uiK6r1ntsJ
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Catherine Noone, avocate et ancienne vice-présidente du Sénat irlandais, a souligné la tradition humanitaire de l’Irlande et son soutien de longue date à la quête de liberté de l’Iran. Elle a salué la « détermination et le courage » de la Résistance iranienne. Établissant un parallèle avec l’histoire de l’Irlande en matière de paix, elle l’a présentée comme une histoire d’espoir. « Je pense que le plan en dix points dont beaucoup de gens ont parlé est éminemment sensé et, vous savez, pour en finir avec la tyrannie, je veux dire, cela semble être une chose tellement fondamentale à vouloir faire », a-t-elle fait remarquer, réaffirmant son soutien aux efforts du CNRI.
At #FreeIran2025, 🇮🇪 Senator @votemaryfitz presented a statement backed by a majority of the Irish Senate, condemning the regime’s repression and endorsing Maryam Rajavi’s 10-point plan. “This regime fears freedom, women, and truth.”#en_simayazadi pic.twitter.com/Ff3UyFEbc6
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La sénatrice irlandaise Mary Fitzpatrick a présenté une déclaration du Sénat irlandais condamnant la crise des droits humains en Iran et approuvant le Plan en dix points du CNRI. Elle a rappelé une motion du Sénat irlandais condamnant le meurtre de Mahsa Amini et la répression brutale des manifestations qui a suivi. « Nous rejetons catégoriquement ce comportement dictatorial. Nous défendons la liberté, la démocratie et les droits humains, et nous soutenons sans réserve le Plan en dix points de l’opposition iranienne, un plan alternatif pour un Iran libre et démocratique », a-t-elle déclaré. Elle a souligné l’intensification de la répression par le régime, la militarisation du système éducatif et le ciblage transfrontalier des militants, soulignant le soutien du Sénat irlandais à la fin du hijab obligatoire, de la dictature et des exécutions.
At the #FreeIran2025 Conference, 🇮🇪 Senator @ErinMcGreehan joined fellow Irish MPs in voicing strong support for the Iranian people and the NCRI. “The struggle of the Iranian people is the world’s struggle against tyranny.” #en_simayazadi pic.twitter.com/o7DsgmFtqD
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La députée irlandaise Erin McGreehan a souligné qu’un changement démocratique en Iran est essentiel, à portée de main, et qu’il s’inscrit dans le cadre du Plan en dix points du CNRI. « Ce plan offre une vision démocratique, inclusive et laïque de l’avenir de l’Iran. Il reflète les valeurs que nous partageons tous et auxquelles le peuple iranien aspire », a-t-elle déclaré. Elle a salué l’incarnation du leadership féminin par le CNRI, la qualifiant de « sans précédent et unique dans la politique moyen-orientale ». Mme McGreehan a appelé l’UE à désigner le CGRI, à saisir le Conseil de sécurité de l’ONU du dossier des droits humains du régime et à reconnaître le CNRI comme l’alternative légitime.
L’ancien sénateur irlandais Gerry Horkan s’est adressé à la communauté iranienne mondiale, affirmant que « le peuple iranien se soulève et sera bientôt libre ». Il a rendu hommage aux unités de résistance et au travail inlassable du CNRI mené par Mme Radjavi. « Le CNRI représente et propose cette alternative. Il est profondément ancré en Iran, bénéficie d’un réseau de soutien mondial et d’un plan de transition clair », a-t-il déclaré, faisant référence au Plan en dix points. Il a appelé à la reconnaissance du CNRI, à la désignation du CGRI, à l’obligation de rendre des comptes pour les crimes contre l’humanité et à l’inscription de l’Iran sous le Chapitre 7 de la Charte des Nations Unies.
At the #FreeIran2025 Conference, 🇮🇪 Senator @gerryhorkan voiced strong solidarity with the Iranian people and praised the NCRI and Maryam Rajavi’s leadership.
“The regime’s end will come—from within.”#en_simayazadi pic.twitter.com/PQ1k9IMbJC— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
Le député irlandais Tony McCormack a qualifié la conférence d’« appel unifié à l’action », à commencer par la désignation du CGRI et la responsabilisation du régime. « Si l’UE et le Royaume-Uni agissent de concert et désignent le CGRI de manière coordonnée et opportune… alors le régime comprendra que l’ère et la culture de l’impunité sont révolues », a-t-il affirmé. Il a fièrement soutenu l’alternative démocratique du CNRI et le Plan en dix points de Mme Radjavi, déclarant : « Fondamentalement, ce plan reflète la volonté et le désir du peuple iranien de vivre dans la liberté et l’autodétermination. »
At the #FreeIran2025 Conference, 🇵🇹 Prof. António Carmona Rodrigues, former Mayor of Lisbon and Minister of Public Works, condemned the Iranian regime’s catastrophic mismanagement of water and energy resources
“These are not just technical failures—they are moral and political." pic.twitter.com/43V777ydLq— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
Le professeur António Carmona Rodrigues, ancien maire de Lisbonne et ministre, a souligné les graves crises de l’eau et de l’électricité en Iran, les attribuant aux « politiques destructrices et au régime fondamentaliste ». Il a déclaré : « Une mauvaise gestion structurelle, une approche sécuritaire de la science et de l’environnement… et surtout, le gaspillage d’immenses richesses nationales et l’exportation du terrorisme… ont laissé l’Iran dans une situation désastreuse. » Il a salué le CNRI, une alternative démocratique dotée d’un plan clair, mené par Mme Radjavi, capable de résoudre ces crises. Il a rappelé la transition démocratique du Portugal, exprimant son espoir pour l’Iran : « J’espère que ce jour de liberté viendra très bientôt, très bientôt pour l’Iran.»
At the #FreeIran2025 Conference, 🇳🇱 former MEP @RookmakerDorien called the NCRI “not just a political alternative, but a moral force.”
She praised Maryam Rajavi as “one of the most visionary leaders of our time.”
#en_simayazadi pic.twitter.com/UPCrB49dCz— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
Dorien Rookmaker, ancienne députée européenne, a salué le rôle de Mme Radjavi dans la construction d’un mouvement contre un « régime fasciste religieux brutal », la qualifiant de « l’une des dirigeantes les plus visionnaires de notre époque ». Elle a souligné le rôle du CNRI comme une « force morale » portée par les femmes. « Votre Plan en dix points énonce des principes universels. Il n’y a aucune raison de ne pas le soutenir », a déclaré Mme Rookmaker, appelant ses collègues néerlandais à se joindre au CNRI. Elle a exhorté les décideurs politiques européens à reconnaître le CNRI et le Plan en dix points comme la seule alternative démocratique organisée et a appelé à la fin de la politique d’apaisement.
At #FreeIran2025, Geneva MP Patrick Lussi announced majority support in the canton’s parliament for the NCRI and Maryam Rajavi’s 10-point plan.
He urged Switzerland to blacklist the IRGC and end appeasement: “It is time to act.”#IStandWithMaryamRajavi #Iran #en_simayazadi pic.twitter.com/FHbKYlcFsf
— SIMAY AZADI TV (@en_simayazadi) 18 mai 2025
Patrick Lussi, membre du Grand Conseil genevois, a annoncé qu’une majorité des membres du Grand Conseil genevois ont signé une déclaration de soutien à la Résistance iranienne et au Plan en dix points de Mme Radjavi. Il a condamné la répression brutale du régime iranien, citant plus de 1 000 exécutions en 2024 et le massacre de 1988. « Il est évident que ce régime est irréformable », a-t-il déclaré. Il a exhorté le gouvernement suisse à inscrire le CGRI sur la liste des organisations terroristes, qualifiant cela d’impératif « moral [et] stratégique » pour « soutenir la lutte courageuse du peuple iranien pour la liberté ».
Un appel unifié au changement
La conférence de Paris a mis en évidence un consensus international croissant parmi les parlementaires et les personnalités politiques en faveur d’un changement radical de politique envers l’Iran. Les thèmes récurrents : le soutien à l’aspiration du peuple iranien à la démocratie, la reconnaissance du CNRI et du Plan d’action en dix points de Mme Radjavi comme une alternative crédible et démocratique, et l’exigence d’une action ferme contre le régime – notamment la désignation du CGRI comme organisation terroriste – ont résonné dans tous les discours. Cet événement a mis en lumière la conviction profonde que le changement en Iran est inévitable, porté par son peuple et sa résistance organisée, et l’engagement de la communauté internationale à le soutenir dans sa quête d’une république libre, démocratique et laïque.