CNRI La visite en Belgique de Maryam Radjavi, présidente de la République élue de la Résistance iranienne, a été couverte par la presse arabe.
Le quotidien As-Sharq Al-Owsat publié à Londres a suivit lévénement à deux reprises. « Maryam Radjavi, peut-on lire, a précisé que la politique de complaisance de lEurope avec le programme atomique du régime des mollahs a échoué. A ses yeux une révision simpose ainsi que des sanctions économiques et politiques contre ce régime. » Le quotidien rappelle que « le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) a été le premier à révéler le programme atomique clandestin du régime iranien en 2002. »
CNRI La visite en Belgique de Maryam Radjavi, présidente de la République élue de la Résistance iranienne, a été couverte par la presse arabe.
Le quotidien As-Sharq Al-Owsat publié à Londres a suivit lévénement à deux reprises. « Maryam Radjavi, peut-on lire, a précisé que la politique de complaisance de lEurope avec le programme atomique du régime des mollahs a échoué. A ses yeux une révision simpose ainsi que des sanctions économiques et politiques contre ce régime. » Le quotidien rappelle que « le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) a été le premier à révéler le programme atomique clandestin du régime iranien en 2002. »
De son côté Al-Raï, publié au Qatar, note que « la visite de la présidente du CNRI a mis le régime iranien en fureur. Anne-Marie Lizin, la présidente du Sénat belge, a déclaré en laccueillant quelle respectait réellement le combat que dirige Mme Radjavi, en espérant quun jour on en comprendra toute limportance. » Al Raï ajoute que « mardi la rencontre entre Anne-Marie Lizin et Maryam Radjavi sest faite dans un des salons du Sénat belge. »
La presse dArabie Saoudite a également rapporté lévénement. Soulignant la réaction hystérique des mollahs, elle rappelle que lambassadeur de Belgique a été convoqué à Téhéran pour protester cette invitation. Al-Watan, au Koweït a lui aussi mis laccent sur la réaction démesurée du pouvoir à Téhéran.
Aux Emirats Arabes Unis, lagence de presse Gulf News a écrit que les ambassadeurs européens, belge et finlandais, avaient été à deux reprises convoqués au ministère des Affaires étrangères et que Bruxelles avait déclaré que le CNRI ne se trouvait pas sur la liste du terrorisme.