Par Hamideh Taati
Le régime barbare des mollahs a amputé la main d’un prisonnier à Sari dans la province de Mazandaran, dans le nord de l’Iran.
Mizan, le site web de nouvelles judiciaires du régime, qui a rapporté mercredi l’application de cette punition macabre, a ajouté: « Traiter fermement les voleurs augmente le sentiment de sécurité de la population ».
Pendant des années, le régime iranien a imposé des punitions barbares. Le 17 janvier 2018, les autorités de la prison centrale de Machhad, dans le nord-est de l’Iran, ont amputé la main d’un homme de 34 ans qui aurait volé du bétail.
Le 18 janvier 2018, Amnesty International a fermement condamné l’acte barbare d’amputation de la main et a écrit: «Amnesty International est scandalisée par les informations selon lesquelles les autorités iraniennes ont amputé la main d’un homme reconnu coupable de vol.
«L’amputation est une torture pure et simple, et l’administration de la torture est un crime au regard du droit international. En tant que partie au Pacte international relatif aux droits civils et politiques, l’Iran est légalement tenu d’interdire la torture en toutes circonstances et sans exception. Les personnes responsables d’ordonner et d’exécuter de telles pratiques doivent savoir qu’elles sont passibles de poursuites pénales au regard du droit international « , a déclaré Magdalena Mughrabi, ancienne directrice adejointe du programme » Moyen-Orient et Afrique du Nord « d’Amnesty International.
Le procureur général du régime iranien a exprimé mercredi ses regrets de ne pas avoir punis suffisamment d’habitants avec amputations, parce que le régime essai d’éviter les condamnations internationales par des organismes de défense des droits de l’homme ou des gouvernements étrangers.
Mohammad Jaafar Montazeri, qui a qualifié ces actes barbares de « punitions divines », a fait ces commentaires à un moment où le régime en Iran a été maintes fois critiqué pour ses mesures punitives barbares, que les mollahs prétendent être mandatée par Dieu.
Plusieurs conventions sur les droits de l’homme, y compris celles auxquelles l’Iran a souscrit, décrivent ces sanctions comme des «actes de torture» et en rejettent catégoriquement l’utilisation.
En 2013, le régime iranien a dévoilé un appareil d’amputation à doigt utilisé pour punir « correctement » les voleurs. Des photographies publiées à cette époque par des médias ont montré un homme aux yeux bandés, qui avait les doigts tranchés par un brutal dispositif d’amputation.
Immédiatement après l’amputation publique, le procureur local a annoncé que les voleurs seraient punis de plus en plus sévèrement.