CNRI – De nombreuses femmes se sont rassemblées le 7 mars devant le tribunal de Machad, dans le nord-est de l’Iran, pour réclamer la liberté de deux sœurs, Sari et Maryam Hosseini, originaire de la ville sainte.
Le régime des mollahs a accusé ces deux jeunes femmes de respectivement 18 et 23 ans, d’homicide involontaire pour la mort d’un jeune qui les harcelait. Elles ont été condamnées à mort.
Redoutant que la protestation de ces femmes ne fasse tâche d’huile à la veille du 8 mars, les forces de sécurité ont déployé un impressionant dispositif d’encerclement avec trois unités féminines de répression et deux unités équipées d’armes à feu et de gaz lacrymogène.