CNRI – Selon le Washington Post du 23 juillet, «les sanctions internationales de plus en plus dures sur le programme nucléaire de l'Iran ont considérablement ralenti les projets économiques les plus prestigieux du pays. »
Le Washington Post ajoute : « Menacées par des sanctions internationales et américaines accrues qui ciblent le financement de projets pétroliers et le soutien technique du secteur énergétique de l'Iran, les entreprises occidentales comme Shell, Total et Halliburton se sont retirées du développement du champ gazier de South Pars. En plus des problèmes de financement, les entreprises éprouvent des difficultés à se procurer des instruments clés et à louer des instruments de forage. »
Le Washington Post compare le niveau de développement et de production des ressources en gaz naturel de l'Iran à celui du Qatar, disant que le Qatar « a exporté 62 milliards de dollars principalement de produits gazier en 2008, tandis que les exportations de gaz de l'Iran ont rapporté environ 6 milliards de dollars. »
Le Wall Street Journal a également publié une information vendredi sur un pétrolier en route vers l'Iran, et arrêté en Turquie, disant que cette mesure peut paraître minime, mais qu’elle est importante pour isoler le régime iranien.
Le Wall Street Journal dit que l’armateur du pétrolier n’aurait pas autorisé le navire de faire route vers l’Iran, ne souhaitant pas traiter avec le régime iranien.
Le journal ajoute que de telles mesures, dans le contexte de l'insurrection nationale, ont pris des dimensions politiques.