CNRI – La situation de l’approvisionnement en eau dans huit villes iraniennes a atteint le seuil « critique », selon un responsable du régime.
Le vice-ministre de l’énergie Sattar Mahmoudi a décrit l’année 2013 comme » la pire année de pluie », ajoutant que « la situation de l’eau dans huit villes, notamment Téhéran, Bandar-Abbas et Machad a atteint le « seuil critique ». « Le pays connaît son pire niveau d’averses des 46 dernières années » a-t-il averti.
L’extension disproportionnée des villes iraniennes, sans prévision pour les services essentiels, et la consommation abusive des ressources en eau, a créé une situation de crise dans les grandes agglomérations iraniennes.
Face à cette situation de crise, les autorités cherchent à justifier leur incurie en évoquant des causes externes et la sécheresse.