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Exécution de 10 prisonniers, dont 6 compatriotes baloutches, ce lundi

Exécution de 10 prisonniers, dont 6 compatriotes baloutches, ce lundi

Khamenei tente vainement d’empêcher le soulèvement, en particulier celui des compatriotes baloutches

Craignant la colère explosive du peuple iranien qui réclame le renversement de son régime clérical criminel, Khamenei accélère en vain l’exécution de prisonniers et crée un climat de terreur pour dissuader l’amorce de soulèvements, notamment de la part des Baloutches.

Le lundi 21 août, le régime de Khamenei a pendu 10 prisonniers, dont 6 compatriotes baloutches, dans les prisons de Zahedan, Ahwaz, Qazvine, Kerman et Kahnouj. Parmi eux, trois prisonniers baloutches nommés Abdul Samad Khadem, Ya’qoub Ejbari et Mohammad Anwar Barahoui, ainsi qu’un autre prisonnier baloutche nommé Ghanbarzehi dans la prison centrale de Zahedan, un prisonnier baloutche nommé Rassoul Naroui dans la prison de Kahnouj, un autre prisonnier baloutche nommé Saelei à la prison de Kahnouj et un autre prisonnier baloutche nommé Ghanbarzehi dans la prison de Kahnouj, un autre prisonnier baloutche nommé Saïd Rigui et un prisonnier nommé Abdul Ghafour Toumaj à la prison centrale de Kerman, un prisonnier baloutche nommé Abdul Reza Qalavand à la prison centrale d’Ahwaz, et deux prisonniers nommés Mehran Amiri et Jamil Abdullahzadeh à la prison centrale de Qazvine.

Autre acte odieux, dans la soirée du dimanche 20 août, un enfant baloutche de 10 ans, Ehsan Yousef Zehi, a été abattu par les agents criminels des services de renseignements de Khamenei dans le canton de Delgan, au Sistan-Baloutchistan.

La Résistance iranienne appelle le Conseil de sécurité des Nations unies, l’Union européenne et ses États membres à condamner ces exécutions criminelles et à prendre des mesures immédiates pour arrêter la machine à exécuter et à massacrer. Le silence et l’inaction face à ce régime médiéval bafouent toutes les valeurs démocratiques et les normes en matière de droits humains. Le régime des mollahs doit être expulsé de la communauté internationale et ses dirigeants, en particulier Khamenei, Raïssi et Eje’i, doivent répondre de leurs crimes contre l’humanité devant la justice.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne

Le 21 août 2023