• Khamenei, recordman des exécutions dans le monde d’aujourd’hui, a commencé le mois d’octobre par au moins 14 exécutions le 1er octobre.
• Les exécutions au cours des neuf premiers mois de 2025 atteignent 1200 personnes alors que sur l’ensemble de 2024 elles étaient de 1001.
• Maryam Radjavi : ils veulent avec davantage de cruauté, empêcher l’insurrection. Mais la détermination de la jeunesse à renverser ce régime se renforce. Le régime doit être exclu de la communauté internationale et Khamenei avec ses autres dirigeants doivent être traduits devant la justice pour des décennies de crimes contre l’humanité et de génocide.
Dans un record sans précédent en Iran, les bourreaux ont pendu en septembre 2025, sur ordre de Khamenei — ce tyran sanguinaire — au moins 200 prisonniers, dont 6 femmes, soit le nombre le plus élevé en un mois depuis 36 ans. Le nombre d’exécutions ce mois-ci est environ 2,5 fois supérieur à celui de septembre 2024 (84 exécutions) et 7 fois celui de septembre 2023 (29 exécutions).
200 exécutions en septembre en Iran !
En instaurant un climat de terreur, la tyrannie religieuse cherche à empêcher un soulèvement populaire. Mais ces effusions de sang ne font que renforcer la détermination de la jeunesse insurgée pour un changement de régime. La communauté… pic.twitter.com/hInarc5Q26— Maryam Radjavi (@Maryam_Rajavi_F) 2 octobre 2025
Ainsi, le nombre d’exécutions au cours des neuf premiers mois de 2025 atteint au moins 1 200. Or le nombre total de l’année dernière s’élevait à 1001 pendaisons. Le nombre d’exécutions sous la présidence de Pezeshkian atteint désormais 1892 personnes.
Khamenei, qui détient le record mondial des exécutions, a commencé le mois d’octobre 2025 par une nouvelle vague d’exécutions. Selon des informations parvenues jusqu’au premières heures du 2 octobre, au moins 14 prisonniers ont été pendus le 1er : Mehrdad Shahidi, 33 ans, et Saïd Amiri, 30 ans, à Kermanchah ; Kamran Navabi à Hamedan ; Jafar Parvardi à la prison Lakan de Racht ; Mohammad Faraji, 30 ans, à Sanandaj ; Seyed-Saïd Seyed-Tabataba’i, Hamidreza Maleki, Javad Sargazi, Sajad Mahmoudi, Ali Garavand et Mehdi Moradi à la prison Qezel Hessar de Karadj ; Hamzeh Sa’idi, Nader Miyangi, 38 ans, et Mostafa Salehi à Ispahan. Le 30 septembre, Gholamali Nazarian a été exécuté à Kermanchah ; le 29 septembre, en plus des noms de prisonniers mentionnés dans le communiqué précédent, Hamed Badr-Abadi a été exécuté à Malayer et une prisonnière nommée Jiran Zaheri à Ispahan.
Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), a souligné au sujet de la montée des exécutions : cette sauvagerie et cette férocité témoignent du fait que la peur de Khamenei devant l’explosion de la colère populaire grandit chaque jour. Il cherche, en instaurant un climat de terreur, à empêcher une insurrection générale. Mais ces effusions de sang ne font que renforcer la détermination de la population mécontente et de la jeunesse insurgée à changer de régime pour le remplacer par la démocratie et la souveraineté populaire.
Madame Radjavi a ajouté que ce régime doit être rejeté par la communauté internationale et que Khamenei et ses autres dirigeants doivent être traduits en justice pour 46 ans de crimes contre l’humanité et de génocide. Les relations et les transactions avec ce régime d’exécutions et de terrorisme ne font que l’encourager à la poursuite et à l’aggravation de ses crimes à l’intérieur et à l’extérieur de l’Iran.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 2 octobre 2025