Les bourreaux de Khamenei ont pendu deux prisonniers, Pouya Askari et Jafar Fallah, respectivement à Arak et Semnan, le dimanche 12 janvier. Le jeudi 9 janvier, trois autres prisonniers, Behrouz Ghasemi, Houshang Shahi et Samad Najar-Asl, ont été exécutés à Ispahan.
Le mercredi 8 janvier, sept détenus ont été exécutés, dont Milad Baoudizabadi à Sari, Hamid Ashena à Kerman, ainsi qu’Amanollah Tajik, Ashkan Pirian, Reza Azizian, Salman Bozorgmehr et un autre détenu à la prison de Ghezel-Hessar à Karaj.
Le mardi 7 janvier, cinq détenus, à savoir Alireza Mehrabadi à Sabzevar, Farman Afaristam, Mohammad Shahidi, Mozaffar Bahmani et Ashkan Kazemi à Kermanshah, ont été exécutés. Enfin, le lundi 6 janvier, trois prisonniers : Ali Atin et Reza Seyedi à Mahabad, et Ali Saadi à Ahvaz – ont également été pendus.
Le dimanche 5 janvier, cinq détenus ont été exécutés, et le samedi 4 janvier, trois autres ont subi le même sort. Les noms de six de ces victimes avaient été communiqués dans une déclaration précédente. À cela s’ajoutent Hassan Norouzi, pendu le 5 janvier à Qom, et Ramezan Taheri, exécuté le 4 janvier à Taybad.
Ainsi, le nombre total de prisonniers exécutés depuis l’entrée en fonction de Pezeshkian, en août, s’élève à au moins 748 personnes.
Khamenei et son régime en crise tentent en vain d’échapper à leur chute inévitable par une vague de brutalité et de massacres. Ces effusions de sang sans limite renforcent la détermination des jeunes insurgés et du peuple mécontent à se libérer du fascisme religieux.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 14 janvier 2025