De nombreux hommes politiques et législateurs allemands de renom ont envoyé leurs vœux à la Résistance iranienne, à Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), et aux membres de l’Organisation des Moudjahidine du Peuple d’Iran (OMPI) à Achraf 3, en Albanie, à l’occasion de la nouvelle année persane. La déclaration, publiée par les membres du Comité allemand de solidarité pour un Iran libre, souhaite que l’Iran libre et démocratique devienne réalité cette année.
Les signataires de la déclaration ont exprimé leur espoir d’un Iran libre, réprimé depuis 44 ans par une dictature barbare qui a eu recours à la violence et à la propagande pour étouffer tout espoir d’autodétermination. Le récent soulèvement populaire en Iran à la suite de la mort de Mahsa Amini a donné plus d’espoir au peuple, car il est considéré comme une révolution en marche.
Les hommes politiques et les législateurs allemands ont exprimé leur gratitude envers les « combattants de la liberté inébranlables » en Iran, Achraf 3, et les communautés iraniennes en Europe et aux États-Unis. Ils ont également salué les efforts des combattants de la liberté au sein des Unités de la Résistance iranienne et des dignitaires du monde entier qui ont travaillé sans relâche à l’avènement d’un Iran libre et démocratique.
Les signataires sont les suivants :
● Rita Süssmuth, ancienne présidente du Parlement allemand (der Bundestag)
● Franz-Josef Jung, ancien ministre de la défense
● Leo Dautzenberg, ancien député et président du Comité allemand de solidarité pour un Iran libre (DSFI)
● Martin Patzelt, ancien député et membre du conseil d’administration du DSFI
● Hille Gosejacob-Rolf, directeur général de l’IADF, président honoraire de la présidence fédérale de l’association professionnelle allemande du travail social (DBSH)
● Christian Zimmermann, membre du conseil d’administration de l’IFDD, éditeur de Spotlight Human Rights
● Katrin Bornmüller, présidente honoraire de la Société internationale des droits de l’homme IGFM
● Eduard Lintner, secrétaire d’État à la retraite au ministère fédéral de l’intérieur
● Stefanie Bung, vice-présidente du groupe parlementaire CDU à la Chambre des représentants de Berlin.
La déclaration se termine par l’expression d’une confiance dans le fait que la liberté et une république démocratique et laïque finiront par s’installer en Iran, et qu’elles seront brillantes et magnifiques. Les hommes politiques et les législateurs allemands ont réaffirmé leur engagement à défendre cette cause et ont exhorté les autres à se joindre à eux dans leurs efforts.
En conclusion, la déclaration souligne le soutien indéfectible des signataires à un Iran libre et démocratique. Leur appel à la solidarité avec le peuple iranien et leur espoir d’un avenir meilleur pour l’Iran trouvent un écho chez tous ceux qui croient en la liberté, la démocratie et les Droits de l’Homme.
Contexte
Les manifestations iraniennes ont commencé après l’assassinat d’une jeune fille de 22 ans, qui a mis en lumière l’apartheid entre les sexes pratiqué par le régime. Elles se sont rapidement transformées en un soulèvement majeur qui appelle à la chute de l’ensemble du système théocratique.
De nombreux dirigeants mondiaux, législateurs, ONG, militants des Droits de l’Homme et célébrités du monde entier ont déjà approuvé la révolution iranienne. Les Iraniens continuent de souffrir et de perdre la vie à cause du régime meurtrier. Leur droit à l’autodéfense légitime contre la machine à tuer de Téhéran, entre autres, est de la plus haute importance et doit être soutenu par la communauté internationale.