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Expulsion du régime misogyne des mollahs de la commission des femmes de l’ONU

Une mesure nécessaire, après le meurtre de dizaines de femmes et d’adolescentes lors des manifestations des trois derniers mois en Iran

L’adhésion de ce régime d’apartheid sexuel et de meurtre d’enfants à la commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW) était une erreur depuis le début, contraire à tous les objectifs de cette commission et une insulte aux femmes d’Iran et du monde

La commission des Femmes du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) considère l’expulsion de la commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW) du régime clérical misogyne et tueur d’enfants comme une étape nécessaire pour soutenir les droits des femmes et les droits humains en Iran.

La présence du régime des mollahs au sein de la CSW, créée dans le but de promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, était en totale contradiction avec les objectifs de cette commission. Ce régime est le plus grand bourreau de femmes au monde.

Il réprime les femmes et les filles iraniennes depuis plus de 4 décennies en raison de leurs droits les plus élémentaires et encourage la violence contre les femmes tant dans la loi que dans la pratique. Il a mis en place plus de 27 organes officiels pour appliquer cette violence dans les rues sous le nom de « lutte contre les mal-voilées« . C’est un régime où la misogynie, l’apartheid sexuel et la violence contre les femmes sont institutionnalisés dans les lois. Un tel régime et ses représentants n’ont jamais eu la compétence de siéger aux Nations Unies ni d’être membre de la Commission de la condition de la femme de l’ONU.

La Commission des femmes du CNRI se félicite de la décision d’expulser le régime de la CSW. Comme Mme Maryam Radjavi, la présidente élue de la Résistance, elle déclare que le fascisme religieux au pouvoir en Iran ne représente pas le peuple de l’Iran de quelque manière que ce soit, qu’il doit être mis au ban de la communauté internationale et expulsé de l’ONU et de ses organes, en particulier de l’UNICEF. Il faut renvoyer son bilan de violations des droits humains devant le Conseil de sécurité de l’ONU et traduire en justice ses dirigeants pour quatre décennies de crimes contre l’humanité et de génocide.

Mme Radjavi s’est félicitée de l’expulsion du régime de la CSW et l’a qualifiée de victoire pour toutes les femmes libres du monde, en particulier les femmes iraniennes, qui combattent le fascisme religieux pour la liberté depuis plus de quatre décennies.

Commission des Femmes du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 14 décembre 2022

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