CNRI – Malgré l’ampleur des condamnations du nombre croissant d’exécutions en Iran, les médias officiels annoncent davantage d’exécutions à venir.
Selon le journal Qods, le 1 septembre, le pouvoir judiciaire des mollahs a condamné a mort quatre prisonniers à Machad, dans la province du Khorassan, dans le nord-est de l’Iran. Trois d’entre eux sont identifiés par leurs prénoms de Achkan, Ahmad et Amir.
CNRI – Malgré l’ampleur des condamnations du nombre croissant d’exécutions en Iran, les médias officiels annoncent davantage d’exécutions à venir.
Selon le journal Qods, le 1 septembre, le pouvoir judiciaire des mollahs a condamné a mort quatre prisonniers à Machad, dans la province du Khorassan, dans le nord-est de l’Iran. Trois d’entre eux sont identifiés par leurs prénoms de Achkan, Ahmad et Amir.
Le quotidien aussi annoncé qu’une jeune femme, Zahra, a été condamnée à la peine capitale à Téhéran.
La nouvelle vague d’exécutions en Iran est destinée à créer un climat de terreur pour contenir des protestations contre le régime.
Lors d’une pendaison publique près de Téhéran hier, la population a laissé éclater sa colère en insultant les forces de sécurité. Des centaines d’agents des brigades anti-émeute avaient été déployés dans le secteur pour contrôler la situation.
Juste avant d’être pendu, Amir Hossein Rouhafza a dit clairement qu’il « ne regrettait pas d’avoir éliminé un juge corrompu » et qu’il « nhésiterait pas si c’était à refaire ». La foule n’a pas pu retenir ses larmes quand la grue a soulevé ce jeune homme de vingt ans, dénonçant les pratiques cruelles du juge en question.
Trois personnes ont été pendues en public en un peu plus d’un mois pour avoir tué des juges des mollahs.