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Anniversaire du soulèvement du peuple iranien et le Sommet pour Iran libre 2023

Anniversaire du soulèvement du peuple iranien et le Sommet pour Iran libre 2023

À l’approche de l’anniversaire du soulèvement de 2022, il est important de rappeler le soutien international pour le changement de régime et la révolution démocratique iranienne. Cet article se penche sur un événement historique qui résume ce soutien : le Sommet mondial pour un Iran libre 2023.

Le samedi 1er juillet 2023, c’est au siège du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) à Auvers-sur-Oise, au nord de Paris, que s’est tenu l’événement qui a transcendé les frontières géographiques et les divisions idéologiques, unissant des personnalités des quatre coins du monde pour soutenir la quête du peuple iranien pour une République démocratique.

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Dans une remarquable démonstration de solidarité internationale, plus de 500 parlementaires, anciens chefs d’Etat, premiers ministres, ministres et dignitaires estimés ont convergé vers le sommet en provenance des États-Unis, d’Europe et du Moyen-Orient. Des voix distinguées ont résonné au fur et à mesure du déroulement du sommet, avec des personnalités telles que l’ancien vice-président américain Mike Pence, l’ancien Premier ministre canadien Stephen Harper et l’ancien Premier ministre belge Guy Verhofstadt. Bernard Kushner, Michèle Alliot-Marie, Hubert Védrine et le sénateur Giulio Terzi, anciens ministres des Affaires étrangères de la France et de l’Italie… Voici les textes de leurs interventions :

L’ancien vice-président américain Mike Pence : le peuple américain défend un Iran libre

L’ancien vice-président américain Mike Pence a prononcé un discours lors du Sommet mondial pour un Iran libre à Paris, appelant à soutenir le mouvement de la Résistance iranienne et sa dirigeante, Maryam Radjavi. Il a exprimé son soutien au peuple iranien et à ses aspirations pour la démocratie. Il a appelé les démocraties à exercer une pression maximale sur le régime iranien.

« Le peuple iranien réclame la liberté. Ils en ont assez de vivre sous un régime meurtrier et tyrannique. Ils méritent de vivre dans un pays où ils peuvent jouir de la liberté d’expression, de la liberté de réunion et du droit de choisir leurs propres dirigeants. »

Le vice-président Pence a également condamné le régime iranien, « l’un des pires violateurs des droits de l’homme au monde (…) Le régime iranien doit être tenu responsable de ses crimes. La communauté internationale doit soutenir le mouvement de la Résistance iranienne et sa dirigeante, Maryam Radjavi, dans leur quête pour un Iran libre et démocratique. »
Le texte intégral de son discours

L’ancien Premier ministre canadien Stephen Harper : le peuple iranien a le droit de vivre dans le paix et la liberté

Stephen Harper a dénoncé le régime iranien comme un régime bien plus brutal, dysfonctionnel et corrompu que le régime du Shah. Il a estimé qu’il existe une alternative viable au régime : le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI).

« La seule politique réaliste face à ce régime n’est pas la peur et la faiblesse ; c’est la détermination et la force (…) Il ne s’agit pas d’assouplir les sanctions ; il faut les durcir. Il ne s’agit pas d’accepter les violations des droits de l’homme ; il faut les condamner. Il ne s’agit pas d’excuser les institutions du régime ; il s’agit de les répertorier comme agents du terrorisme. »

Harper a également appelé la communauté internationale à mettre fin à son silence et à son inaction face au régime iranien et à se montrer solidaire de son peuple qui lutte pour un État libre, laïc et démocratique.

« La vision du CNRI pour l’Iran est un engagement en faveur d’élections libres, de la liberté de réunion et d’expression, du pluralisme et de l’État de droit, des droits de l’homme et de l’égalité des sexes, de la séparation de la religion et de l’État et de l’autonomie des minorités ethniques iraniennes », a ajouté Harper. « Des millions de personnes dans le monde se tiennent aux côtés du peuple iranien et souhaitent voir un avenir meilleur pour l’Iran. »
Le texte de son discours :

L’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo : les manifestations en Iran sont le résultat de 40 ans d’opposition organisée
Le 70e secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, a prononcé un discours en faveur du soulèvement du peuple iranien visant à renverser le régime des mollahs en Iran, aux côtés de Maryam Radjavi et du CNRI pour un Iran libre.

L’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo est intervenu lors du Sommet mondial pour un Iran libre à Paris, dans lequel il a appelé la communauté internationale à faire pression sur Téhéran.

« Le régime iranien est un régime brutal et oppressif qui écrase son propre peuple et soutient le terrorisme dans le monde entier », a déclaré Pompeo. « Le peuple iranien se soulève contre le régime et réclame la liberté. Les efforts de l’administration Biden pour complaire au régime iranien constituent une trahison du peuple iranien et ne feront que rendre le monde plus dangereux. »

« Le peuple iranien mérite la liberté et la communauté internationale doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour l’aider à y parvenir », a déclaré Pompeo. « Nous devons continuer à faire pression sur le régime iranien jusqu’à ce qu’il change de comportement. »
Le texte de son discours :

Dominique Attias, présidente de la Fondation européenne des avocats : Les femmes iraniennes sont devenues le noyau de la révolution
Dominique Attias, ancienne vice-bâtonnière au Barreau de Paris, participait samedi au « Sommet mondial pour un Iran Libre 2023 ». Elle était épaulée par plusieurs élues français, alors que la majorité des députés (295 membres) de l’Assemblée nationale et des dizaines de sénateurs français ont récemment signé une déclaration de soutien au combat du peuple Iranien et l’alternative démocratique du CNRI.

Dans son intervention, Dominique Attias, a déclaré : « Cette journée, qui est un inoubliable et extraordinaire exemple, en lien constant avec le peuple iranien, isolé, menacé et pourtant que rien n’arrêtera plus. Vous vous battez, jour après jour pour réveiller les consciences, vous êtes dans les villages et les villes d’Iran au soutien de votre peuple. Et les mollahs ont peur de vous. Ils paniquent, d’où leurs menaces et leurs actions désordonnées.
« On ne négocie pas avec des maîtres-chanteurs terroristes. On ne peut, sans le payer un jour, vendre son âme au diable.
« La résistance iranienne est porteuse de lumière, et ce mot lumière nous sommes nombreux à l’avoir prononcé. Porteuse de lumière et d’avenir. Maryam Radjavi, depuis tant d’années, image de la modernité, prône un Iran de liberté, liberté pour les Iraniennes de tout âge, de tout lieu et de tout milieu. Ces femmes, qui ont une conscience aiguë de la justice, de l’iniquité sociale entre les sexes, liberté de choisir leur vie, les vêtements qu’elles portent, de choisir leur destin. »
Le texte de son discours :

Ingrid Betancourt, candidate à la présidentielle colombienne : face au régime totalitaire, le CNRI est le seul à rester ferme
Ingrid Betancourt, ancienne candidate à la présidence colombienne, est intervenue au «Sommet mondial Pour un Iran libre » en soutien au peuple iranien et a souligné la nécessité de poursuivre le régime iranien pour crime contre l’humanité et contrer sa politique de diabolisation contre la Résistance iranienne. Dans son intervention, elle a déclaré :
« Oui, ces 20 années ont été remplies de moments de triomphe. Nous en avons fêté certains ensemble, mais aussi l’adversité. Chaque pas en avant s’est accompagné d’immenses douleurs et souffrances. Pourtant, à travers tout cela, vous, Maryam, êtes restée résolue, refusant de plier sous la pression de la tyrannie. Votre dévouement à la cause a inspiré d’innombrables autres personnes, nous tous ici, et a allumé un feu dans nos cœurs qui ne s’éteindra plus désormais.

Mais de nouvelles générations se sont également jointes à vous, en particulier de courageuses jeunes femmes iraniennes, comme celles qui se battent après la mort tragique de Mahsa Amini. Et je dois souligner que leur combat n’est pas seulement un combat féminin. Il ne s’agit pas seulement des femmes. Bien sûr, il s’agit de femmes, mais il ne s’agit pas que de la question des femmes. C’est une question de dignité humaine pour les hommes comme pour les femmes.
Le texte de son discours :

Michèle Alliot-Marie, ancienne ministre française des Affaires étrangères : Nous avons la responsabilité d’agir pour l’Iran
Michèle Alliot-Marie, ancienne ministre française des Affaires étrangères et de la Défense, a déclaré : « Votre pays est un symbole, un symbole de ce que l’on peut et un symbole de ce que l’on doit faire. Les libertés y sont menacées, nous le savons bien, qu’il s’agisse de la liberté d’expression, de la liberté d’aller et venir, simplement la liberté d’être ce que l’on est. Libertés qui sont menacés d’emprisonnements, menacés de la perte de la vie. Et puis c’est le droits de la justice, qui elle-même est remis en cause. C’est le droit de vote, c’est l’égalité entre les hommes et les femmes, c’est comme vous le dites si bien, la séparation entre l’Église et l’État. Et je m’adresse à tous ceux qui se sont exprimés avant moi : nous avons aussi la responsabilité de ne pas nous contenter de mots, de ne pas dire simplement, depuis nos pays bien confortablement installés chez nous, qu’il faut faire des choses en Iran.
« Bien sûr, c’est vous qui allez les faire, ce n’est pas nous qui pourrons les faire chez vous, mais il est évident que nous devons dépasser simplement les mots pour enfin agir. Je crois que nous avons le devoir de parler, le devoir d’être cohérent dans nos positions, entre ce que nous disons dans nos discours diplomatiques. Et puis ce que nous faisons aussi réellement sur le terrain et la façon dont nous pouvons soutenir l’aspiration à la liberté, à la démocratie. »
Le texte de son intervention

L’ancien ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner : Je souhaite que Madame Radjavi l’emporte
Bernard Kouchner, ancien ministre français des Affaires étrangères, a déclaré : « L’Iran est un pays dirigé par des barbares. Et par des barbares religieux, ce qui est pire. L’Iran fabrique un certain nombre d’armes de guerre, un certain nombre de drones qui, en ce moment, bombardent et assassinent le peuple ukrainien.
« Dans ce nouveau monde, il y a une alliance qui se crée et qui est très dangereuse. Je parle de la Russie, qui elle-même assassine les Ukrainiens, je parle de l’alliance entre la Russie et l’Iran. La fourniture d’armes de l’Iran à la Russie et ce qui en suit, c’est-à-dire l’assassinat du peuple ukrainien qui se défend très bien, et je le salue aussi.
« Alors je ne voudrais pas que mon admiration pour le combat de Madame Radjavi et pour le retentissement qu’il a dans le monde et pour tout le bien que je lui souhaite pour pouvoir enfin changer ce régime des mollahs, je parle de la guerre qui se noue maintenant, et des Iraniens qui ne voient pas que ce qui se passe dans leur pays est lié à tout cela. C’est ça un tel danger. Donc, le monde est très dangereux, les armes fabriquées par l’Iran tuent en ce moment.
Le texte intégral du discours :

L’ancien ministre des Affaires étrangères français Hubert Védrine : le CNRI doit préparer l’avenir
Hubert Védrine, président de l’Institut François-Mitterrand, a déclaré : « L’analyse de la situation de ce pays, qui était très bien expliqué par les intervenant, me donne le sentiment, et c’est ma troisième raison, c’est que tout devient possible en Iran. C’est pourquoi j’ai saisi l’occasion de venir vous dire, Madame, par rapport à votre énorme et fantastique mouvement, que vous avez maintenant une très très grande responsabilité. Vous n’êtes pas simplement un mouvement courageux qui combat historiquement la dictature et tout ce que ça représente. Vous ne représentez peut-être pas toute l’avenir de l’Iran, mais une grande partie de l’avenir de l’Iran.
« Ça donne une responsabilité nouvelle, énorme, qui devient crédible. Et on n’est plus dans la simple dénonciation de toutes les horreurs de la dictature. Alors j’essaierais de poser les questions que je sais très compliqués – et je ne vais pas me mêler de la politique intérieur iranienne, ni maintenant ni demain.
« Mais il est évident, si les opposants au régime iranien étaient unis, ça serait beaucoup plus puissant, mais je ne vais pas plus loin. Le droit d’amitié se cache derrière cette remarque. Une remarque d’efficacité politique simplement… »
Le texte complet de son intervention

Liz Truss, ancienne Première ministre britannique : il est temps d’être plus dur envers le régime iranien
Elizabeth Truss, ancienne Première ministre britannique, est intervenue en faveur du soulèvement du peuple iranien visant à renverser la dictature en Iran, aux côtés du CNRI et de l’OMPI pour un Iran libre.

L’ancienne Première ministre britannique Liz Truss a averti que la liberté et la démocratie sont plus menacées qu’elles ne l’ont été depuis des décennies, citant la montée des pouvoirs autoritaires comme la Chine, la Russie et l’Iran. Selon elle, ces régimes ont été enhardis par la politique de complaisance des gouvernement occidentaux.

« Nous avons fait preuve de complaisance face à la montée des régimes autoritaires. Nous leur avons permis de croire qu’ils pouvaient s’en sortir avec leur comportement. Nous les avons confortés et nous ne leur avons pas résisté. » Truss a appelé le monde libre à adopter une position plus ferme contre ces régimes et à soutenir les populations courageuses qui luttent pour la liberté et la démocratie.

« Nous ne devons pas permettre au régime iranien de mettre la main sur des armes nucléaires. Nous devons soutenir les femmes iraniennes qui luttent pour la liberté. Et nous devons mettre fin au recours à la prise d’otages par l’État iranien. »
Le texte de son discours :

John Bercow, ancien président de la Chambre des communes du Royaume-Uni : l’Iran a une alternative avec plus de 40 ans de préparation
John Bercow, ancien président de la Chambre des communes du Royaume-Uni, a déclaré dans son discours que le changement est possible en Iran et il est à la portée de la main. Il a rejeté la politique de la complaisance face au régime iranien. « Il existe une alternative au régime iranien, à savoir le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) dirigé par Maryam Radjavi. »

Bercow a salué le CNRI comme un « mouvement bien organisé, solidement structuré et conceptuellement cohérent », qui se prépare au changement depuis plus de 40 ans. Il a rendu hommage à Maryam Radjavi, « une femme infatigable, indestructible et inépuisable qui mérite notre soutien ».
Le texte de son discours :

La députée ukrainienne Kira Rudik : la liberté prévaudra en Ukraine et en Iran
Kira Rudyk au Sommet mondial pour un Iran libre, le 1er juillet 2023
La députée ukrainienne Kira Rudik a souligné l’importance de lutter pour la liberté, même lorsque cela est difficile. « Nous avons appris que la liberté n’est pas gratuite. Cela demande des sacrifices et de la détermination. Cela exige que nous soyons prêts à risquer notre vie pour ce en quoi nous croyons. »

Rudik a également parlé de l’importance de la justice pour ceux qui ont souffert sous les régimes totalitaires et que le mal ne reste pas impuni. « Nous avons également appris que le mal impuni revient toujours. C’est pourquoi il est si essentiel de garantir non seulement que nous gagnons la guerre, mais aussi que nous obtenions justice pour tous ceux qui ont souffert des régimes totalitaires. »

Enfin, Rudik a déclaré que l’Ukraine a déjà réalisé de nombreuses choses que l’on croyait autrefois impossibles, et elle pense que l’Iran peut faire de même. « Nous avons appris que l’impossible n’est rien », a déclaré Rudik. « Si le peuple ukrainien peut réaliser ce que nous avons, alors le peuple iranien peut réaliser tout ce qu’il souhaite. »
Le texte de son discours :

L’ancien Premier ministre slovène Janez Janša : le changement en Iran est inévitable

S’exprimant lors du Sommet mondial pour un Iran libre à Paris, Janša a déclaré que le peuple iranien « mérite la démocratie, la liberté et la protection de ses droits humains ». Il a appelé les gouvernements du monde entier à « tenir le régime iranien pour responsable » de ses violations des droits humains.

« Je pense que c’est par ces actions que nous pouvons démontrer notre solidarité avec le peuple iranien et ses aspirations à la liberté. Le plan en 10 points articulé par la présidente du CNRI, Mme Maryam Radjavi, mérite tout notre soutien. Son engagement en faveur d’élections libres, de la liberté de réunion et d’expression, de l’abolition de la peine de mort, de la séparation de la religion et de l’État, de l’autonomie des ethnies iraniennes et d’un Iran non nucléaire est pleinement conforme aux valeurs démocratiques. »

« Je vous exprime à tous ma gratitude pour votre dévouement et votre engagement fidèle à la cause d’un Iran libre. Ensemble, continuons à rechercher la justice, la liberté et les droits de l’homme pour le peuple iranien. »
Le texte de son discours :

L’ancien ministre allemand Peter Altmaier : soyez prêt pour la démocratie et la liberté en Iran

Dans son discours, Peter Altmaier a déclaré que le peuple iranien « mérite tout notre soutien et toute notre aide ». Il a salué la patience et le dévouement du peuple iranien et a déclaré que sa lutte pour la liberté est « une déclaration universelle des valeurs fondamentales de la liberté individuelle et de la démocratie ».
Altmaier a déclaré : « Je suis tellement impressionné par la patience et par la volonté du peuple iranien de travailler très dur pendant des décennies pour mettre en œuvre la liberté et la démocratie en Iran. Et le président Radjavi, comme je l’ai déjà dit hier, votre plan en dix points est bien plus qu’un plan en dix points. C’est une déclaration universelle de la valeur fondamentale de la liberté individuelle et de la démocratie. Et par conséquent, je suis convaincu que ce plan en dix points doit jouer un rôle clé dans les efforts qui doivent maintenant être développés, les efforts du peuple iranien sont entrés dans une nouvelle étape.
« Après les terribles activités nucléaires de l’Iran, après l’oppression du soulèvement par le régime à Téhéran et dans le pays, le régime a commis un autre crime encore plus désastreux. Ils ont choisi de se ranger du côté de la Russie dans la guerre contre l’Ukraine. Ils ont construit une coalition. Et quand vous regardez cette coalition, le président Poutine a opprimé son peuple épris de liberté pendant de nombreuses années. Le président Loukachenko de Biélorussie a opprimé son peuple épris de liberté pendant de nombreuses années et en a tué beaucoup. Et le régime iranien a opprimé sa propre jeunesse et son espoir pour l’avenir. C’est une coalition d’oppresseurs, et ils ne peuvent pas la vaincre. Il faut les arrêter. Ils perdront et ils s’effondreront. »
Le texte de son discours :

Le général américain Wesley Clark : avec votre leadership sur le terrain, la victoire est proche
Le général Wesley Clark, candidat à la présidentielle américaine de 2004, a prononcé un discours en faveur du soulèvement du peuple iranien visant à renverser le régime des mollahs en Iran et a salué le courage et la détermination de la Résistance iranienne, dirigée par Maryam Radjavi, dans sa lutte pour la liberté.
Il a déclaré : Pendant des années, le MEK (OMPI) a résisté aux ayatollahs depuis des bases en Irak, puis vous avez été pris dans le conflit entre Saddam et les États-Unis, et il a fallu des années pour clarifier la situation. Maintenant que vous êtes établi en Albanie, en toute sécurité, vous êtes une force vitale pour la liberté et la démocratie. Et pas seulement en Iran, vous êtes un exemple, un exemple vivant à travers le monde.
Nous avons fait un excellent travail de promotion de la démocratie. Nous n’avons pas toujours réussi à aider les peuples et nous n’avons pas encore réussi à vous aider suffisamment, à mon avis.
Mais ces idées de liberté d’expression, liberté d’association, liberté de conscience, libre accès à l’information, le droit de choisir ses propres dirigeants, de s’habiller et de se comporter comme on l’entend, dans le respect des autres, bien sûr, façonnent les lois qui nous guident. Ces libertés sont virales et les gens le veulent. C’est universel à travers l’humanité. »
Le texte de son discours :

L’ancien conseiller américain à la sécurité nationale, le général James Jones : le CNRI constitue une menace existentiel pour le régime tyrannique

S’exprimant lors du Sommet mondial pour un Iran libre à Paris, le général James Jones, ancien conseiller américain à la sécurité nationale sous Obama, a déclaré : « Nous devons reconnaître que l’enthousiasme du régime à l’égard de ce qu’il considère comme de la complaisance est sous-tendu par une crainte indéniable. Il craint l’impact et l’influence croissants des forces d’opposition à l’intérieur de l’Iran. Ils reconnaissent que le Conseil national de la Résistance iranienne constitue une menace pour leur régime tyrannique, une menace formidable pour leur régime tyrannique. Cette reconnaissance est en soi une confirmation éclatante de la puissance et de l’efficacité de la CNRI sous la direction visionnaire de Mme Radjavi.
« Le plan en dix points de Mme Radjavi, qui reflète les valeurs démocratiques chères à la communauté internationale et que les Américains reconnaissent comme étant véritablement de l’esprit de Jefferson, est une lueur d’espoir qui éclaire la voie vers un Iran démocratique où la liberté, la justice et les droits de l’homme prévaudront. Le soutien mondial aux objectifs et à l’ambition du CNRI résonne à travers les nations, attirant l’attention de hauts dirigeants et de législateurs de nombreux pays, comme nous l’avons entendu plus tôt aujourd’hui. »
Le texte de son discours :

Lisa Chambers, présidente du Sénat irlandais : le changement arrive en Iran

La présidente du Sénat irlandais, Lisa Chambers, a déclaré : « Les efforts pour réprimer le soulèvement n’ont pas été couronnés de succès et je vous félicite pour cet effort. C’est parce que le peuple iranien a fait preuve d’une bravoure, d’un courage et d’une résilience incroyables en résistant à toute forme de suppression de son droit de protester et de manifester.
« En particulier, je pense que vous conviendrez tous que les voix et les actions des jeunes Iraniens ont été particulièrement impressionnantes. Et parce qu’ils sont vos futurs dirigeants et parce qu’ils sont l’avenir de votre pays, cela me donne beaucoup d’espoir de voir chaque jour le pouvoir et l’influence qu’ils exercent dans leurs propres communautés et dans toute la campagne iranienne.
« Je tiens à préciser aujourd’hui que la majorité des membres du Sénat et de la Chambre basse, comme l’illustrent les deux documents présentés ici aujourd’hui, soutiennent le plan démocratique du président Radjavi pour l’Iran, le plan en dix points et de nombreux les membres des deux chambres ont signé une lettre très détaillée à ce sujet et ont pleinement soutenu l’objectif et le but de nous tous ici aujourd’hui de voir un Iran libre et démocratique. »
Le texte de son discours :

Le représentant du congrès américain Lance Gooden : l’obsession de Téhéran contre le CNRI lui donne de la crédibilité
Le membre du Congrès américain Lance Gooden est intervenu en faveur du soulèvement du peuple iranien pour un Iran libre.

Le membre du Congrès Gooden a déclaré que lui et ses collègues du Congrès américain croyaient en un Iran démocratique et soutenaient le plan en dix points de la présidente élue du CNRI, Maryam Radjavi. Il a salué le CNRI en tant que leader de la résistance iranienne et a estimé que l’obsession du régime contre le CNRI est un signe de sa force et de sa crédibilité.

« Nous sommes fiers de vous soutenir, Madame Radjavi. Et au nom de tous les membres du Congrès, nous sommes à vos côtés. »
Le texte de son discours :

Le représentant américain Raul Ruiz : Je soutiens une République libre et démocratique d’Iran
Lors du Sommet mondial Pour un Iran libre 2023, au siège du Conseil national de la Résistance iranienne, Raul Ruiz, membre du Congrès américain, était parmi les orateurs distingués qui ont annoncé leur soutien au soulèvement du peuple iranien ainsi qu’à son mouvement de Résistance. Fier d’être l’un des co-parrains de la résolution 100 de la Chambre des représentants des États-Unis en faveur du soulèvement du peuple iranien, Congrès Ruiz a encouragé le peuple iranien à rester ferme dans sa quête d’une République démocratique, laïque et non nucléaire.
Dans son intervention, le représentant Raul Ruiz a déclaré : « Madame Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne. Mesdames et messieurs et braves gens d’Iran, bonsoir. Je suis le Dr Raul Ruiz. Je suis médecin urgentiste et membre du Congrès à la Chambre des représentants des États-Unis. Je représente une population diversifiée du sud de la Californie, y compris de nombreux Iraniens américains dignes et courageux.
« Je suis ici pour montrer ma solidarité avec vous, la diaspora iranienne, qui n’a jamais abandonné l’espoir d’un Iran libre et démocratique. Je suis ici pour rêver collectivement avec des veuves, des parents, des étudiants, des travailleurs, des femmes et des filles qui ont été tuées, emprisonnées, violées, torturées et empoisonnées pour avoir osé rêver de liberté et d’égalité par un régime qui a trop longtemps violé leurs droits humains. »
« En tant que fils d’ouvriers agricoles ayant grandi dans une communauté appauvrie enchaînée par la discrimination et la pauvreté, je me soucie profondément de votre rêve. Je comprends les sacrifices, les luttes, les difficultés et l’espoir nécessaires pour une vie meilleure dans la dignité, la prospérité, l’égalité et les droits de l’homme pour tous en vertu de la loi. »
Le texte de son discours :

La députée canadienne Judy Sgro : Nous sommes sur la voie de la démocratie en Iran
Judy Sgro, députée canadienne et ancienne ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration, a salué le plan en dix points du CNRI pour un Iran libre et démocratique et a déclaré :
« Madame Radjavi, votre mouvement a fait de grands sacrifices au cours des 44 dernières années, et je n’ai certainement pas besoin d’en mentionner beaucoup. L’année dernière, lorsque j’étais en Albanie, j’ai eu la chance de visiter à nouveau Achraf 3 et de voir tant de gens qui remontent à l’époque où j’étais ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration. Et ils ont était brutalisés dans leur pays. Et donc chaque fois que je les regarde, les larmes me viennent aux yeux parce qu’ils ont tant souffert. Vous avez tous tant souffert, et pourtant vous êtes là. Vous vous battez tous les jours. Et il n’y a tout simplement pas assez de mots pour exprimer l’appréciation du monde, pas seulement du peuple iranien. »
Le texte de son discours :

L’ancien Premier ministre islandais Geir Hilmar Haarde : Arrêtez d’amadouer les dirigeants criminels à Téhéran
L’ancien Premier ministre danois Geir Hilmar Haarder a appelé l’Occident à mettre fin à sa politique de complaisance envers le régime iranien et à aider ce dernier à changer de régime de l’intérieur.

Il a estimé que « Les dirigeants occidentaux ont fait une erreur dans leur politique envers l’Iran. Malheureusement, la politique actuelle envers le régime ne peut être décrite que comme une politique d’apaisement. Cette politique a encouragé le régime à accroître ses violations des droits de l’homme, le recours à la prise d’otages et le terrorisme mondial. Je fais partie des signataires d’anciens chefs d’État qui ont signé la lettre pour exhorter les dirigeants mondiaux à changer leur politique envers l’Iran. »
« Maintenant que le peuple iranien appelle à un changement de régime, une mauvaise politique peut être encore plus préjudiciable. Les politiciens occidentaux sont passés à côté d’un élément clé de la politique envers l’Iran, qui est le mouvement de la Résistance iranienne pour la liberté et la démocratie. Ils sont tombés dans le piège du régime qui cherche à cacher ce mouvement. Toute politique doit tenir compte du peuple iranien et de son mouvement de résistance. Le régime craint ce mouvement car il a le potentiel d’apporter des changements en Iran. »
« Le plan en dix points propose un projet pour un Iran libre et démocratique fondé sur les valeurs que nous soutenons tous. Il est temps pour l’Occident d’abandonner la politique d’apaisement envers le régime iranien et de soutenir les aspirations du peuple iranien à la liberté et à la démocratie. »
Le texte de son discours :

L’eurodéputé slovaque Ivan Stefanec : Le monde entier a besoin d’un Iran libre
Ivan Stefanec iran libre 2023
M. Ivan Stefanec, membre du Parlement européen de Slovaquie, a exprimé son soutien et sa solidarité avec la Résistance iranienne et les participants au Sommet mondial de l’Iran libre 2023.
Faisant le parallèle avec l’expérience de son propre pays, il a reconnu la conviction et l’implication active du peuple iranien dans la réalisation du changement. M. Stefanec a souligné que l’importance de ce changement dépasse les frontières de l’Iran, car la démocratie favorise la coopération et les opportunités, tandis que les autocraties représentent une menace pour les Droits de l’Homme et la stabilité mondiale. Il a souligné les éléments cruciaux du changement : un leadership fort, un plan global et le soutien de la population. L’eurodéputé slovaque s’est dit fermement convaincu que le changement est imminent et a exprimé le soutien indéfectible du Parlement européen à un Iran libre.
Le texte intégral du discours

Anand Grover, ancien rapporteur spécial de l’ONU : il ne peut y avoir de devoir plus élevé que de donner sa vie pour la liberté
Anand Grover, ancien Rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits à la santé, membre de la Commission mondiale sur la politique en matière de drogues, figurait parmi les invités de marque à la conférence internationale du CNRI sur le massacre de 1988 en Iran. L’événement a eu lieu le 3 juillet en présence de dizaines d’experts des droits de l’homme, des avocats de renommée internationale et d’anciens responsables de l’ONU.
Dans son intervention inspirante, Anand Grover a déclaré : « Aujourd’hui, nous sommes réunis ici pour nous souvenir de ces quelque 30 000 citoyens iraniens et de mes camarades exécutés en 1988 par le régime iranien.
« Le crime contre l’humanité rappel que la lutte n’est pas oubliée mais devient une impulsion pour la poursuite de la lutte et la victoire finale vers un Iran libre. Je tiens à remercier les organisateurs de cette réunion très importante du Conseil national de la résistance iranienne et pour m’avoir invité à me joindre à leurs efforts pour obtenir justice pour ceux qui ont été exécutés en Iran. »
Le texte intégral du discours :

Le député allemand Carsten Müller : plus de 3 600 législateurs de toutes les nations libres sont à vos côtés

Carsten Müller, membre du Bundestag allemand est intervenu au Sommet mondial pour un Iran libre 2023, qui s’est tenu le 1er juillet dernier à Auvers sur Oise, apportant son soutien au Conseil national de la résistance iranienne et au peuple courageux d’Iran dans sa lutte pour une république démocratique et laïque. M. Müller a notamment souligné l’importance du plan en dix points du CNRI et le soutien dont il bénéficie les parlementaires du monde entier.
Dans son intervention, M. Carsten Müller a déclaré : « Le peuple iranien risque sa vie pour la liberté et fait preuve de beaucoup de courage. Le Conseil national de la Résistance a largement promu la réflexion sur la marche à suivre après la libération avec un plan en 10 points particulièrement avisé. Ce plan comprend des approches très intelligentes et excellentes. Ce n’est pas un hasard si plus de 3 600 parlementaires de toutes les nations libres se tiennent à vos côtés. Ils vous soutiennent, et leurs noms, leur crédibilité et leurs signatures en témoignent. »
Le texte intégral du discours :

Rita Süssmuth, ancienne présidente du Parlement allemand : Maryam Radjavi nous a encouragés à continuer de nous battre

La professeure Rita Süssmuth, ancienne présidente du Bundestag allemand (1988-1998), a prononcé un discours passionné lors du Sommet mondial pour un Iran libre, le 1er juillet dernier. Soulignant la force et la résilience de la résistance iranienne, le professeur Süssmuth a salué le soutien des parlementaires et des personnalités du monde entier pour la résistance iranienne. Elle a condamné la campagne de diabolisation du régime contre la Résistance et a salué les efforts de Maryam Radjavi pour la cause de la démocratie et de l’Etat de droit en Iran.
Dans son intervention, la professeura Rita Süssmuth a déclaré : « J’ai été vraiment influencé par de bonnes personnalités, et l’une des personnalités marquantes était Madame Radjavi parce qu’elle aussi nous a encouragés à continuer et à persévérer. Personne n’est capable de cheminer seul. Toutes les complots concernant la Résistance iranienne sont l’expression de la peur du régime. Quand on se souvient de la misère, de la torture, des tueries faites aux Iraniens, aux femmes et aux hommes, car les deux sexes sont concernés, c’est une misère incroyable. Néanmoins, vous avez continué.
Le texte intégral du discours :

Louis Freeh, ancien directeur du FBI : les unités de résistance représentent le courage de convictions profondes et fondées sur des principes

L’ancien directeur du FBI, Louis Freeh, a mis en évidence la différence entre la propagande qui a lieu dans les pays démocratiques et celle qui est utilisée par des États brutaux comme l’Iran.
Concernant son expérience de la désignation de l’OMPI comme une organisation terroriste par le département d’État américain, le directeur Freeh a déclaré : « Lorsque nous avons travaillé avec le Département d’État, il y a plusieurs années, pour retirer le CNRI et l’OMPI de la liste des organisations terroristes, nous nous sommes heurtés de plein fouet à la propagande intégrée que des personnes de bonne volonté au sein du département d’État avaient incorporée dans les dossiers et les conclusions officiels du gouvernement. Nous avons donc eu beaucoup de mal à le faire. Par exemple, nous avons souligné que tous les habitants d’Achraf avaient été interrogés par le FBI pour déterminer s’ils avaient des liens ou des intentions pro-terroristes, et personne n’a été classé dans cette catégorie. Ainsi, même si l’information a été transmise plusieurs fois au département d’État, elle nous a été renvoyée de différentes manières. »
« La politique américaine en a été affectée, non seulement par la radiation de la liste, qui a finalement eu lieu, non pas parce que le département d’État a décidé de corriger ses dossiers et son point de vue, mais parce qu’une cour d’appel était prête à faire comparaître le gouvernement devant elle et non seulement à l’accuser d’outrage, mais aussi à conclure que l’organisation n’aurait jamais dû être inscrite sur la liste. Et ce, sans que le FBI n’ait jamais été invité à examiner les faits », a ajouté l’ancien directeur du FBI.
Le texte intégral du discours :

L’eurodéputé polonais Ryszard Czarnecki : Il ne fait aucun doute que l’avenir de l’Iran réside dans cette alternative

Ryszard Czarnecki, eurodéputé polonais et ancien ministre de l’Intégration européenne, s’est adressé au Sommet mondial pour un Iran libre 2023. Il a déclaré : « La récente attaque meurtrière contre Achraf3, entraînant la mort d’un membre de l’OMPI et la blessure de nombreux autres, a provoqué une grande colère parmi les membres du Parlement européen. Certaines personnes prétendent que l’OMPI (Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran) est en Albanie pour des raisons humanitaires et n’a pas le droit de se livrer à des activités politiques. Les connaissant depuis de nombreuses années, je peux affirmer que quel que soit leur pays d’implantation, ils ont pour tradition d’agir dans le cadre des lois de leur pays d’accueil. Cependant, il leur est tout à fait impossible de se priver d’activité politique. Si tel était le cas, pourquoi ont-ils quitté l’Iran et se sont exilés en premier lieu ? »

« Aujourd’hui, après les développements des neuf derniers mois, il ne fait aucun doute que l’avenir de l’Iran réside dans cette alternative. Le mouvement de la résistance iranienne, dirigé par Madame Radjavi, s’emploie actuellement à apporter la démocratie et la liberté en Iran grâce à son plan en dix points pour une république laïque et démocratique. Ce plan représente une vision globale d’un avenir meilleur pour le peuple iranien. Le mois dernier, Madame Radjavi a été invitée au Parlement européen, où elle a été reçue par un nombre de députés bien supérieur à de nombreux chefs d’État. Cela démontre l’admiration et le soutien que les membres du Parlement européen a pour elle et son mouvement. »
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L’ancien Premier ministre roumain Petre Roman : tous les dictateurs ont nié leur alternative

Intervenant au « Sommet mondial pour un Iran libre 2023 », Petre Roman, ancien Premier ministre de Roumanie, a exprimé son admiration pour les combattants de la liberté en Iran et l’alternative démocratique du CNRI. Il a déclaré : « Pourquoi toutes les dictatures, y compris celle d’Iran, chantent le même mantra pour dire qu’il n’y a pas d’alternative ? Est-ce parce qu’ils se soucient de l’avenir de l’Iran ? Absolument pas. Ils sont convaincus qu’ils doivent éliminer tout alternative à leur pouvoir personnel contre le peuple. Je suis reconnaissant à mon collègue, l’ancien Premier ministre irlandais, d’avoir mentionné la révolution roumaine, qui a mis fin à la dictature de Ceausescu en Roumanie. Parce que vous, Madame la Présidente Radjavi, pourriez dire, et je dirais, à ces dictateurs terribles en Iran : « Méfiez-vous, criminels, méfiez-vous. L’histoire nous raconte des histoires formidables sur la façon dont les peuples conquièrent leur liberté et comment naissent les alternatives démocratiques. »
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L’ancien ministre canadien Tony Clement : un nouvel Iran est à nos portes
Tony Clement, ancien ministre canadien la Santé et de l’Industrie, est intervenu au Sommet mondial pour un Iran libre, le 3 juillet au siège du Conseil national de la Résistance iranienne à Auvers sur Oise. L’ancien président du Conseil du Trésor du Canada a déclaré :

« Madame Radjavi, merci pour votre travail et votre leadership. Bravo. Je voudrais rendre hommage au CNRI et à l’OMPI pour avoir maintenu vivace la lumière sur la situation en Iran afin que nous n’oublions jamais toutes ces victimes. Nous n’oublions jamais, et cela oblige à plus d’action.

« Je pense qu’il est important de dire que ce gouvernement iranien est dangereux, on pourrait penser qu’avec tout le pouvoir dont ils disposent, ils géreraient un peu mieux les choses, mais non, non, ils ne le font pas. Pourquoi est-ce que je parle autant de leur incompétence ? Je le dis parce que cela nous donne de l’espoir. Ils ne sont pas infaillibles et ils seront vaincus par une combinaison des actions des Iraniens, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Iran. Et oserais-je dire, parce que cela se produit tout le temps à travers l’histoire, sous le poids de leur propre idiotie et incompétence. Oui, nous devons pleurer ceux qui ont perdu la vie et leurs moyens de subsistance. Mais ne désespérez pas. Parce que la victoire, l’espoir et un nouvel Iran sont à nos portes. »
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Stanislav Pavlovschi, ancien ministre de la Justice de Moldavie : l’heure est venue pour la justice en Iran

Stanislav Pavlovschi, ancien juge à la Cour européenne des droits de l’homme, a souligné le besoin de justice et de responsabilité et s’est dit préoccupé par l’absence d’un système judiciaire équitable en Iran et a plaidé pour une enquête internationale indépendante sur les exécutions effrénées, ainsi que la nécessité d’abolir la peine de mort et d’autres formes de châtiments cruels et inhumains.

Dans son intervention du 3 juillet, Stanislav Pavlovschi, ancien ministre de la Justice de Moldavie a déclaré : « Le massacre de 1988, qui a coûté la vie à des dizaines de milliers de personnes, a été un événement tragique qui a profondément choqué non seulement la société iranienne mais l’ensemble du monde civilisé. Je m’incline à la mémoire des victimes et exprime mes plus sincères condoléances et ma sympathie à leurs proches et à ceux qui réclament justice depuis des décennies. On sait que justice différée est justice refusée, et le temps de la justice est venu. »
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Sénateur australien Eric Abetz : La communauté internationale doit reconnaître la légitimité du CNRI
Eric Abetz, ancien sénateur australien, a pris la parole lors d’une conférence organisée sur la campagne pour la justice pour les victime du massacre de 1988 en Iran. L’évènement s’est tenu en marge du « Sommet mondial pour un Iran libre », le 3 juillet au siège du CNRI.
Dans son intervention, le sénateur australien a déclaré : « Ceux d’entre nous qui sont nés dans des pays qui jouissent de la liberté ont le devoir et la responsabilité d’aider ceux ailleurs qui se battent pour les mêmes libertés dont nous jouissons. La liberté est précieuse. Nous devons le protéger et nous battre pour lui chaque jour.
« Amis amoureux de la liberté, nous devons être résolus. Nous devons être solidaires les uns des autres. Nous devons appeler le mal pour ce qu’il est : le mal. Sans excuses ni nuances glissantes. Pouvons-nous convenir que le mal est le mal ? Que les tyrans de Téhéran soient mauvais et que chaque jour où ils restent au pouvoir est un jour de trop. »
Le texte de son discours :

Ariel E Dulitzky, ancien expert des droits de l’homme de l’ONU : chaque disparition forcée est un crime d’État

Ariel Dulitzky, professeur à l’université du Texas et ancien rapporteur des Nations Unies sur les disparitions forcées, a fait une intervention émouvante : « Je voudrais commencer par deux chiffres que nous avons entendus cet après-midi. Le premier, 30 000. 30 000 victimes du massacre [de 1988 en Iran]. Et je veux faire le lien entre ces 30 000 victimes et les 30 000 personnes qui ont disparu dans mon pays, en Argentine, pendant la dictature entre 1976 et 1983. Parmi elles se trouvaient deux de mes cousines, Tilly et Moni. L’une a disparu en 1977, l’autre en 1976. Il n’y avait pas de groupe de travail des Nations unies sur les disparitions forcées à l’époque.
En fait, les mères et les grands-mères de la Plaza de Mayo ont cherché à obtenir une procédure spécialisée, qui a vu le jour en 1980. En 1980, lorsque la première procédure thématique de l’ONU unies a été créée, le groupe de travail sur les disparitions forcées était connu sous le nom de groupe de travail argentin. Et lorsque les défenseurs argentins des droits humains, ont essayé de convaincre les Nations unies de créer ce groupe de travail, l’ambassadeur de la dictature militaire les a poursuivi dans les couloirs de l’ONU. Leur courage, semblable au vôtre, a permis la création de ce groupe de travail des Nations unies. »
Mais laissez-moi vous communiquer l’autre chiffre que je souhaite partager avec vous … »
Le texte de son discours :

Irene Victoria Massimino, ancienne Rapporteure de la Haute Cour pénale de Buenos Aires : l’impunité des responsables de l’État iranien est un crime en soi
Irene Victoria Massimino Kjarsgaard, ancienne Rapporteuse de la Haute Cour pénale de Buenos Aires, est intervenue à une conférence organisée le 2 juillet au siège de la Résistance iranienne à Paris, pour discuter de la campagne demandant justice pour les victimes du massacre de dizaines de milliers de prisonniers politiques en 1988 en Iran.
Avec une expertise approfondies dans le domaine des disparitions forcées, ce professeure de droit a comparé le massacre de 1988 en Iran avec les violations systémiques des droits humains sous la junte militaire en Argentine. Elle a expliqué pourquoi les disparitions forcées sont un crime continu, non seulement contre les individus ciblés mais aussi contre les proches des victimes qui sont constamment terrorisée et intimidée par le crime d’État.
Dans son intervention, Massimino Kjarsgaard, cofondatrice et directrice du département des affaires juridique du Lincoln Institute for Genocide Prevention, a déclaré : « Je voudrais exprimer ma solidarité et mes condoléances aux victimes et aux proches des victimes des régimes iraniens passés et actuels. Je tiens également à exprimer ma plus profonde admiration pour les hommes et les femmes, leur courage et leur force, qui s’opposent publiquement et continuent de s’opposer au régime autocratique iranien et qui revendiquent un avenir meilleur de liberté et de paix en Iran. »
Le texte intégral du discours :

Pierre Sané, ancien SG d’Amnesty International : Quand la résistance sera fondée sur la justice, la liberté et l’égalité, elle gagnera
Le 3 juillet, M. Pierre Sané, fondateur et président de l’Institut Imagine Africa, ancien sous-directeur général de l’UNESCO pour les sciences sociales et humaines et ancien secrétaire général d’Amnesty International, figurait parmi les éminents orateurs de la conférence internationale consacrée au massacre des prisonniers politiques en Iran en 1988.

Pierre Sané a déclaré: Les Droits de l’Homme sont à nouveau en crise. Dans les années 1990, lorsque j’étais à Amnesty International, nous pensions que nous vivions les pires moments en matière de Droits de l’Homme. Il y avait eu le génocide en Serbie. Il y a eu le génocide au Rwanda, des guerres sans fin en Afrique, qui se sont soldées par l’invasion de l’Irak, suivie par des décennies de guerre contre le terrorisme, avec toutes les violations des Droits de l’Homme que ces conflits ont engendrées.

En ce qui concerne les violations des Droits de l’Homme, j’ai relu ce matin le dernier rapport d’Amnesty International. L’Iran coche toutes les cases : massacres, tortures, exécutions et disparitions forcées, violences faites aux femmes, confiscation des libertés et des libertés publiques, violence de la répression (…) Donc, quel que soit le contexte, quelle que soit l’évolution géopolitique, nous ne pouvons pas, pour des raisons politiques, sacrifier notre devoir de solidarité envers tous ceux qui sont victimes de violations des Droits de l’Homme et envers tous ceux qui luttent pour un régime qui respecte les Droits de l’homme. Et cela commence par la fin. Cela commence par la fin de l’impunité. »
Le texte de son discours :

John Bolton, ancien conseiller à la sécurité nationale des États-Unis : le monde devrait travailler avec la résistance organisée pour faire tomber le régime iranien

Dans son discours, l’ambassadeur Bolton a déclaré que l’accord sur le nucléaire iranien de 2015 était un mauvais accord car il n’empêchait pas le régime iranien de développer des armes nucléaires et ne couvrait pas tous les aspects du programme. Il a déclaré que le régime iranien utilise l’argent de l’accord nucléaire pour financer le terrorisme et ses programmes nucléaires et de missiles balistiques.

Bolton a estimé que le régime iranien est plus faible que jamais depuis 1979 et que les manifestations contre le régime sont un signe de sa vulnérabilité. Selon lui, le régime iranien tente de faire pression sur les gouvernements occidentaux pour qu’ils libèrent leurs avoirs et empêchent le CNRI d’agir.

Il a appelé la communauté internationale à travailler avec le CNRI pour renverser le régime iranien et établir un gouvernement démocratique en Iran. Pour lui, la seule issue pour la lutte du peuple iranien est un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
Le texte de son discours :

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