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Les Iraniens honorent l’héritage de la révolution de 1979 et appellent à un Iran démocratique

Reportage en direct : Les Iraniens honorent l'héritage de la révolution de 1979 et appellent à un Iran démocratique

Des milliers d’Iraniens, de sympathisants de l’Organisation des Moudjahidine du Peuple d’Iran (OMPI) et du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) se sont rassemblés à Paris, Place Denfert Rochereau, en solidarité avec les manifestations en Iran et pour honorer l’héritage de la révolution antimonarchique de 1979. De nombreux hommes politiques et législateurs européens de renom, notamment de France, prennent la parole lors de cet événement, soutenant les aspirations démocratiques du peuple iranien, principalement son rejet de toute forme de tyrannie. L’orateur principal de cet événement sera Mme Maryam Radjavi, la présidente élue du CNRI. Cette page sera mise à jour avec les dernières nouvelles du grand rassemblement d’aujourd’hui.

CETTE PAGE SERA MISE À JOUR EN FONCTION DE L’ÉVOLUTION DE LA MANIFESTATION

Reportage en direct : Les Iraniens honorent l'héritage de la révolution de 1979 et appellent à un Iran démocratique

L’ancien maire Jean Francois Legaret

Ce régime menace le monde entier. Nous sommes ici pour un message commun : Nous devons nous battre. La liberté et la démocratie doivent règner en Iran. Le programme de Maryam Radjavi va dans ce sens. Nous sommes solidaires du peuple d’Achraf 3. Ce combat doit soutenir trois mots : démocratie, république et liberté.

Maire adjoint de Paris Centre Jacques Boutault

Nous soutenons la révolution pour se débarrasser du régime. La révolution de 1979 a été volée par les mollahs il y a 44 ans. Nous, démocrates, sommes solidaires avec vous. Je rends hommage à Mme Amini qui a été martyrisée en septembre. La liberté consiste à avoir le droit de choisir.

Les femmes font preuve de bravoure dans leur rébellion contre le régime. Le régime des mollahs s’effondre. Les gouvernements du monde entier doivent faire pression sur les mollahs pour qu’ils cessent leur cruauté envers leur propre peuple.

Il y a quelques années, j’ai visité une exposition ici à Paris sur le massacre en 1988 de prisonniers politiques militants de l’OMPI. À l’époque, j’ai parlé à Maryam Radjavi. J’admire son combat et sa lutte en tant que femme, en tant que démocrate et en tant que leader politique.

Ingrid Betancourt, candidate à la présidence colombienne

C’est formidable d’être du bon côté de l’histoire, ici avec la diaspora iranienne, en solidarité avec les manifestants en Iran. Nous commémorons l’anniversaire de la chute de la dictature du Shah, une dictature sanglante et corrompue. Il s’agissait d’une révolution démocratique qui a été volée par Khomeini qui a remplacé le Shah. Il a profité de la répression de l’opposition par le Shah pour prendre le pouvoir. Aujourd’hui, l’opposition est de retour dans les rues. Les manifestants scandent « A bas le dictateur, que ce soit le Shah ou les mollahs ! ».

Aujourd’hui, l’Iran a une opportunité unique, car il est dans une situation unique. Khomeini n’a pas réussi à éliminer le seul mouvement d’opposition qui a résisté pendant tout ce temps et qui est resté organisé. L’opposition est présente non seulement dans les rues de Téhéran et à travers l’Iran, mais aussi à travers le monde et ici à Paris.

Tout comme dans les rues de Téhéran et des grandes villes d’Iran, où la révolution est menée par les femmes, à la tête de la Résistance iranienne se trouve une femme. C’est une lutte menée par les femmes pour la liberté de tous les peuples.

Il est temps pour nous de nous lever et d’arrêter d’avoir peur et de nous agenouiller devant le régime iranien – non seulement pour le peuple iranien mais aussi pour nous ici en Europe. La lutte du peuple iranien est notre lutte. Nous sommes pris en otage par ce régime.

Nous voulons un Iran libre, pour tous les Iraniens, pour tous les Français, et tous les Européens. Nous nous battons pour tous les otages. Nos gouvernements doivent reconnaître la transition vers un gouvernement démocratique dirigé par Maryam Radjavi. Le retour à la tyrannie, que ce soit une autre version du régime des mollahs ou de la dictature du Shah, sera une trahison pour le peuple d’Iran.

Nous sommes ici pour honorer la mémoire des jeunes qui ont été pendus simplement parce qu’ils ont manifesté leurs droits. Nous nous battrons jusqu’à ce que la démocratie soit de retour en Iran.

MESSAGE À LA MANIFESTATION IRANIENNE EN FRANCE À L’OCCASION DE L’ANNIVERSAIRE DE LA RÉVOLUTION ANTIMONARCHIQUE DE 1979

Du renversement de la dictature du chah au soulèvement pour une république démocratique

Je vous salue, vous toutes et tous qui êtes rassemblés dans le froid.

Certes, depuis plus de 40 ans, vous êtes présents à tout moment et en toutes circonstances pour transmettre au fascisme religieux le grand NON du peuple iranien et de sa Résistance.

Et nous sommes également reconnaissants envers nos amis, personnalités européennes et françaises, qui ont toujours défendu la Résistance iranienne pour la liberté et la démocratie.

Je vous rends hommage.

Khomeiny a détourné la révolution de 1979

Chers compatriotes !

En ce jour anniversaire de la révolution antimonarchique, grâce au glorieux soulèvement de ces derniers mois et au sang du peuple iranien qui continue d’être versé, le juste mot de RÉVOLUTION a brisé le joug du chah et des mollahs et règne en maître.

Oui, la révolution brille et se bat. Elle et est résolue à faire triompher la cause de la liberté.

Je salue les pionniers, les précurseurs et les véritables leaders de cette révolution ! De Taleghani à Mohammad Hanifnejad, Saïd Mohsen, Ali Asghar Badizadegan, Bijan Jazani, Massoud Ahmadzadeh, Amir Parviz Pouyan et Shokrollah Paknejad, en passant par des femmes héroïques comme Azam Rouhi Ahangaran, Marzieh Oskoui, Fatemeh Amini et Ashraf Radjavi.

En effet, par leurs sacrifices, les Moudjahidine du peuple (OMPI) et les Fedayines ont ancré l’idée de changement et de révolution dans la structure de la société iranienne.

Mais en l’absence des véritables leaders qui ont été tués sur le terrain ou emprisonnés, Khomeiny, qui n’a jamais voulu ordonner la lutte contre la dictature du chah, a détourné la révolution. C’est le même qui a ordonné le massacre des prisonniers de l’OMPI ayant refusé de se soumettre à lui.

Oui, Khomeiny était le véritable prince héritier du chah qui a élevé à un nouveau niveau l’héritage de crimes et d’atrocités du chah et de son père.

Comme l’a dit Massoud [Radjavi, le dirigeant de la Résistance iranienne], « ce qui nous est arrivé est dû à l’obscurantisme, pas à la révolution. Dès le départ, le problème a été que l’obscurantisme a revêtu le manteau de la révolution ». Il a également souligné que le critère pour juger une révolution est « la liberté, la souveraineté populaire et le vote du peuple ».

Paradoxalement, lorsque le chah était au pouvoir, de nombreux mollahs ont collaboré avec lui et sa sinistre SAVAK.

Et maintenant que les mollahs sont en place, les vestiges du chah ont pris le parti des gardiens de la révolution. Ils affirment ouvertement que les pasdarans et les miliciens du Bassidj sont « la principale force qui garantit la sécurité et la stabilité futures de l’Iran ».

Ils expriment également leur choix et leur préférence pour la dictature cléricale de la manière suivante : « S’il devait choisir entre ce régime et l’OMPI, le peuple choisirait très probablement les mollahs. »

On peut ainsi comprendre d’où viennent les allégations selon lesquelles l’OMPI et la Résistance iranienne seraient dénuées de base sociale et de soutien malgré 120 000 martyrs.

L’hostilité historique du chah et des mollahs vis-à-vis de l’OMPI, de l’ensemble des forces et personnes nationalistes, patriotiques et progressistes, ainsi que des minorités ethniques opprimées, montre leur unité intrinsèque. Cela souligne leur ligne rouge de toujours contre le front du peuple.

Une dictature reste une dictature, avec un turban ou une couronne

C’est l’une des ironies de l’histoire que les gens qui ont célébré le jour funeste du 19 aout 1953 et le coup d’Etat colonial contre le gouvernement nationaliste et démocratique du Dr Mossadeq, qualifient aujourd’hui de mauvais, le jour où le peuple les a chassés de leurs palais.

Mais bien sûr ce qui est de mauvais augure, ce n’est pas la révolution, mais les forces réactionnaires infernales qui font l’éloge des pasdarans et de la milice du Bassidj.

L’une des ironies de l’époque est que même un des présidents des mollahs, Mohammad Khatami, a conclu que le réformisme est dans une impasse. Et le premier ministre de Khomeiny, Mir-Hossein Moussavi, a affirmé que la constitution du régime n’est plus effective.

Eh bien, si vous dites vrai, vous devriez rejeter la source de la corruption, l’usurpation par Khomeiny de la souveraineté populaire des Iraniens et le détournement de la révolution. Vous devriez également abandonner votre slogan vieux de 40 ans de « mort à l’OMPI », comme antithèse de la dictature cléricale. Vous devriez dénoncer et condamner le massacre de 1988 et préciser votre implication dans ce qui est arrivé au peuple d’Iran et à ses enfants.

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Reportage en direct : Les Iraniens honorent l'héritage de la révolution de 1979 et appellent à un Iran démocratique

Guy Verhofstadt, eurodéputé belge, ancien Premier ministre belge

Pendant la révolution de 1979, j’avais 26 ans. J’avais l’espoir qu’avec le départ du dictateur, le peuple iranien aurait de bonnes perspectives de liberté. Mais malheureusement, un nouveau dictateur a remplacé l’ancien. Depuis que les mollahs ont pris le pouvoir, il n’y a pas eu un seul jour sans violence. Il est difficile de croire que ces hommes et ces femmes courageux ont pu descendre dans la rue malgré la violente répression de ces quatre dernières décennies. Ils veulent simplement parvenir à un Iran démocratique. Ils sont un exemple de courage.

Il est de notre responsabilité et de notre devoir de mettre fin à la violence et aux meurtres en Iran et de mettre fin à l’utilisation de la peine capitale. En tant qu’Européens, nous devons faire beaucoup plus. Nous devons tenir le régime responsable de ses crimes. Nous devons imposer des sanctions massives à ceux qui sont responsables des violations des Droits de l’Homme en Iran. Nous devons briser l’épine dorsale du régime iranien, le Corps des gardiens de la révolution islamique (pasdaran). Nous devons condamner l’idéologie et les activités criminelles de ce régime. Nous devons couper le financement de cette organisation et veiller à ce qu’elle soit inscrite sur la liste des entités terroristes.

Nous devons également protéger le peuple iranien et la diaspora iranienne ici en Europe. La question doit être la suivante : Pourquoi continuons-nous à négocier avec l’Iran ? Pourquoi pensez-vous que nous pouvons parvenir à un accord durable avec cet interlocuteur peu fiable ? Si nous parvenons à un accord nucléaire avec un régime qui tue ses citoyens, ce sera un feu vert pour le régime de poursuivre ses crimes.

Le régime doit être contraint de libérer les prisonniers politiques et les otages sans aucune concession. Les concessions ne feront qu’encourager le régime à prendre plus d’otages. Il est important que nous prenions le contrôle ensemble et que nous mettions en œuvre un plan qui assure la liberté en Iran.

L’Iran, votre pays, est le berceau de la civilisation humaine. Vous êtes dans un combat important entre la démocratie et l’autocratie. L’Iran sera libéré des dictateurs et rendu à son peuple.

John Bercow, ancien président de la Chambre des communes du Royaume-Uni

Nous détestons la dictature et nous exigeons la démocratie pour le peuple iranien qui souffre depuis longtemps. Au cas où quelqu’un tenterait de nous déformer, nous sommes clairs, réunis ici, à l’occasion du 44e anniversaire du renversement du diabolique et méprisable Shah, nous ne voulons en aucun cas revenir à cette dictature. Nous savons que c’était un tueur corrompu. Corrompu par des vols massifs et tueur par l’exécution d’Iraniens qui voulaient simplement être libres. Le Shah ne croyait pas à la démocratie, à la liberté, aux droits des médias, aux droits des femmes ou aux droits des minorités. Et c’est en raison de son bilan épouvantable, de sa persistance et de sa barbarie pendant des décennies qu’il a été destitué. C’était la base de ce qui aurait dû être une révolution par et pour le peuple iranien. Mais les ayatollahs ont détourné cette révolution. Ils ont tordu, déformé et perverti cette révolution. Ils ont ruiné cette révolution.

Le despotisme monarchique du Shah a fait place au despotisme théocratique des ayatollahs, qui l’ont remplacé. Ils ne croient pas en la liberté. Ils ne croient pas aux droits des médias, aux droits des femmes et aux droits des minorités ethniques. Ce sont des dictateurs tout autant que le Shah. Nous ne voulons pas de dictature pour le peuple iranien. Nous voulons la démocratie. Nous voulons la liberté, l’État de droit, le respect des médias, l’égalité des femmes et la protection de l’égalité des droits des minorités. Quelle que soit votre religion ou si vous adhérez à une religion quelconque, la liberté est votre droit fondamentale. Le peuple iranien a une alternative démocratique décente au régime des mollahs, et vous l’avez entendu dans les mots passionnés, puissants et persuasifs de Mme Radjavi. Nous savons tous que Mme Radjavi est une personne qui a du cran, une vision, du caractère, et un désir inextinguible de s’engager au service du public et du peuple d’Iran. Son plan en dix points montre comment le CNRI s’y prendrait pour obtenir une république démocratique, laïque et non nucléaire. C’est ce que vous voulez et c’est ce que nous voulons.

Je veux m’identifier et m’associer aux discours puissants de tous les orateurs précédents. Si nous voulons aider le peuple iranien à se diriger vers une véritable démocratie, nous devons reconnaître qu’il est temps de proscrire ceux qui ne croient pas en la démocratie ou en la liberté et qui ne croient qu’en l’application fasciste de la force. Les pasdaran représentent précisément cette éthique bestiale, dangereuse et axée sur la violence. Il doit être proscrit comme l’organisation terroriste qu’il est.

Ce qui est le plus encourageant, c’est la présence de jeunes gens qui ne seront pas satisfaits tant qu’il n’y aura pas en Iran une république libre, démocratique, laïque et respectueuse des Droits de l’Homme. Gardez la foi. Ne vous lassez jamais. Restez résolus. La liberté est proche.

Mahnaz Salimian, secrétaire principal du CNRI

Nous célébrons la démocratie et l’indépendance. Au cours des cinq derniers mois, des héros iraniens ont fasciné le monde entier. Malgré les exécutions, ils soulignent qu’ils n’abandonneront jamais. Ils continuent à dire : « Khamenei, tyran, nous te renverserons ! ». Aujourd’hui, vous êtes la véritable voix du soulèvement et de ses martyrs et prisonniers politiques.

Pendant tout ce temps, malgré les complots des ennemis, vous avez insisté sur le slogan « A bas le tyran, que ce soit le Shah ou les mollahs ! ». C’est un principe fondamental qui rejette toute forme de dictature et reconnaît la souveraineté et l’indépendance du peuple iranien. D’après notre expérience, nous pouvons constater que le régime s’est véritablement affaibli. Mais il ne tombera pas de lui-même. Il ne tombera que par la révolution et la résistance.

Le régime tente de bloquer l’alternative démocratique. Mais cette Résistance, avec plus de 120.000 martyrs et les activités des Unités de Résistance et des jeunes, renversera ce régime et débarrassera la région et le monde de son mal.

Mahan Taraj, juriste

Résistance contre la répression et le système barbare des mollahs. La résistance des membres de l’OMPI est justifiée par le nombre important de martyrs qu’ils ont eu. Il est clair que les mollahs seront renversés par la Résistance et le peuple. C’est pourquoi les mollahs et leurs alliés utilisent la propagande pour tenter de les diaboliser. Si les mollahs les attaque autant, c’est parce qu’ils savent qu’est l’OMPI et les Unités de Résistance qui les renverseront.

Le régime et ses alliés tentent d’utiliser de prétendus sondages en ligne pour prouver que la Résistance n’a aucun soutien en Iran. Un sondage réalisé sous la dictature jouit-il d’une quelconque légitimité ? Non. Ce type d’initiatives ne sert qu’à la survie du régime.

Comme l’a dit Mme Radjavi, nous ne voulons pas obtenir le pouvoir. Nous voulons renverser le régime pour que le peuple puisse choisir ses propres dirigeants dans des élections démocratiques. Nous continuerons notre Résistance jusqu’à ce que le régime soit renversé.


Zinat Mirhashemi, membre du CNRI et du Comité central de l’Organisation Cherik-Hay-E Fedaii (OIPFG)

L’objectif de la révolution de 1979 était de renverser la dictature du Shah et d’instaurer la liberté et la démocratie. Ce fut une victoire pour le peuple iranien. Mais la liberté n’a pas pu triompher, et la lutte continue. Nous voulons nous débarrasser de toutes les formes de discrimination. Dans cette lutte, des milliers d’hommes et de femmes ont sacrifié leur vie. Malheureusement, la révolution a été détournée par les mollahs. Ils ont continué à coopérer avec la SAVAK pour annihiler les dissidents.

Nous ne pardonnerons pas et n’oublierons pas. Toutes les personnes qui ont été torturées et tuées par les mollahs et le régime du Shah ne doivent pas être oubliées. Les crimes du régime des mollahs ne doivent pas nous faire oublier les crimes du régime du Shah.

Nous serons capables de surmonter les défis de cette dictature. Le peuple iranien veut la liberté, l’indépendance, la souveraineté populaire et une république laïque.

Neda Amani, militante des Droits de l’Homme

L’histoire montre que le temps est révolu pour ce régime. Le peuple ne veut pas du régime et le régime ne peut pas gouverner. Dans les rues, il y a un mouvement qui ne s’arrêtera pas. L’histoire nous enseigne également que nous ne reviendrons pas à l’ère du Shah. Le Shah a été renversé par une révolution populaire, et il ne reviendra pas.

La monarchie était un pouvoir despotique en Iran. Elle était dirigée par un parti unique.

Aujourd’hui, nous voyons la Résistance en Iran. Le peuple et sa Résistance feront tomber l’oppresseur.

Farhang Pouya, scientifique franco-iranien
Le peuple iranien ne s’assoira pas sur ses lauriers tant que le régime ne sera pas renversé. Le régime est au plus faible. Le dernier mot sera dit par les unités de résistance dans les rues d’Iran. Nous sommes fiers de les soutenir de toutes nos forces.

Au cours des cinq derniers mois de soulèvements, le peuple iranien a clairement indiqué qu’il ne se contenterait que d’un changement de régime.

La fin du régime est proche. C’est pourquoi le régime et ses services de renseignement tentent de mettre en place différents obstacles. Mais avec les unités de résistance, le peuple iranien est assuré d’être victorieux.

Le peuple iranien bénéficie d’une coalition forte comme le CNRI. Pendant ce temps, les partisans de la monarchie déploient des efforts ridicules pour prétendre qu’il existe un soutien au Shah en Iran. Leurs sondages sont biaisés et non scientifiques. Les Unités de Résistance sont l’épine dans le pied du régime, qui l’empêchent de poursuivre son règne funestent.