Agence France Presse – L’attitude de défiance de l’Iran sur son dossier nucléaire pourrait exiger l’imposition de nouvelles sanctions internationales, a estimé samedi à Crawford (Texas) la chancelière allemande Angela Merkel.
"Nous devons penser à de nouvelles sanctions", si l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et les efforts diplomatiques entrepris par l’Union européenne échouent à convaincre l’Iran de se plier aux exigences de la communauté internationale, a déclaré Mme Merkel, après deux jours de sommet avec le président George W. Bush dans son ranch du Texas.
"Nous pensons que ce problème peut être résolu diplomatiquement", a néanmoins souligné la chancelière lors d’une conférence de presse conjointe avec le président George W. Bush.