 et un centre de propagande à Manoujan (province de Kerman). Ils ont aussi mis le feu à des pancartes et banderoles de propagande du régime et des portraits de Khamenei à Karadj et Yazd en lançant les slogans « à bas Khamenei, vive Radjavi », « à bas les pasdarans, à bas la milice, à bas le dictateur », et « à bas le tyran, qu’il soit chah ou mollah ».Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienneLe 5 mars 2023){kind=link}
La jeunesse insurgée en Iran a réagi à la mort sous la torture du Dr Ebrahim Rigi, un jeune médecin baloutche de 24 ans, supplicié par les bourreaux de Khamenei à Zahedan le 22 février dernier. Dans le cadre de la campagne visant à briser le climat de répression, de jeunes rebelles ont mené une dizaine d’actions courageuses le 27 février. Ils ont visé à coups de cocktails molotov des centres de la milice du Bassijd à Hamedan, Machad, Bouchehr, Esfarayen, Semnan, Landevil (province de Guilan) et un centre de propagande à Manoujan (province de Kerman). Ils ont aussi mis le feu à des pancartes et banderoles de propagande du régime et des portraits de Khamenei à Karadj et Yazd en lançant les slogans « à bas Khamenei, vive Radjavi », « à bas les pasdarans, à bas la milice, à bas le dictateur », et « à bas le tyran, qu’il soit chah ou mollah ».
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 5 mars 2023
