CNRI – La révolte gronde dans la ville dEghlid, au centre de lIran, depuis le 23 avril. La population dans sa majorité appelle à la démission des autorités municipales et régionales.
Les manifestations ont pris hier une plus grande ampleur, avec les commerces, les bureaux et les établissements scolaires qui ont fermé. Les jeunes ont brûlé des pneus pour empêcher les gardiens de la révolution et les organes de sécurité dintervenir.
CNRI – La révolte gronde dans la ville dEghlid, au centre de lIran, depuis le 23 avril. La population dans sa majorité appelle à la démission des autorités municipales et régionales.
Les manifestations ont pris hier une plus grande ampleur, avec les commerces, les bureaux et les établissements scolaires qui ont fermé. Les jeunes ont brûlé des pneus pour empêcher les gardiens de la révolution et les organes de sécurité dintervenir.La révolte gronde dans la ville dEghlid, au centre de lIran, depuis le 23 avril. La population dans sa majorité appelle à la démission des autorités municipales et régionales.
Les manifestations ont pris hier une plus grande ampleur, avec les commerces, les bureaux et les établissements scolaires qui ont fermé. Les jeunes ont brûlé des pneus pour empêcher les gardiens de la révolution et les organes de sécurité dintervenir.
La population en colère sen est prise à plusieurs centres de la répression, des bâtiments gouvernementaux et des banques, brisant les vitres et infligeant des dégâts. La manifestation a pris une ampleur particulière dans le centre ville où la plus grande foule sest rassemblée. Toutes les vitres de ladministration municipale ont volé en éclat et les bâtiments ont été endommagés.
Alors que les forces de sécurité étaient incapables de contrôler et de réprimer la vague de mécontentement, le régime a fait appel à des bandes de voyous et à des unités anti-émeutes des villes voisines pour étouffer le mouvement. Des dizaines de manifestants ont été blessés ou arrêtés à la suite dune charge violente des forces de sécurité.
Il règne une sorte détat durgence à Eghlid et les gardiens de la révolution empêchent les personnes étrangères, même les employés des administrations, dentrer dans la ville. Néanmoins, Eghlid est toujours en état de trouble et des affrontements sporadiques continuaient déclater.
La présidente de la République élue de la Résistance iranienne, Maryam Radjavi a salué la population dEghlid qualifiant sa révolte de symbole de colère unanime de la population iranienne contre la dictature théocratique qui ne peut se maintenir au pouvoir que par les exécutions, la torture et la répression. Elle a aussi exhorté toute la population de la province de Fars et spécialement la jeunesse à se soulever en soutien aux courageux habitants dEghlid. Elle appelle toutes les organisations des droits de lhomme à faire pression sur le régime des mollahs pour quil relâche sans délai les personnes arrêtées.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 25 avril 2007