CNRI – A l’approche de la mascarade électorale de juin en Iran, les luttes intestines entre factions rivales ne cessent d’augmenter.
Gholam Ali Haddad-Adel, candidat à la présidentielle, a déclaré : « Nous avons les mains liées pour parler des points faibles du gouvernement actuel et en fait c’est une ligne rouge à ne pas franchir. »
Dans une réunion tenue à Téhéran le 19 avril, Hadad Adel a déclaré : « Le gouvernement de Mahmoud Ahmadinejad nous rend fous ».
Cet ancien président du Majlis a décrié les faiblesses du gouvernement Ahmadinejad, notamment dans les domaines de la « gestion », du « comportement vis-à-vis du Guide suprême » et de la « révocation et la nomination de plusieurs ministres durant les derniers mois de fonctionnement du gouvernement au pouvoir ».