En tant que principal État sponsor du terrorisme, la dictature iranienne a réitéré sa politique déstabilisatrice sous la direction du nouveau président élu Masoud Pezeshkian. Lors d’une récente conversation téléphonique avec Mahdi Al-Mashat, chef du Conseil politique suprême des Houthis, Pezeshkian a salué les actions militaires agressives du groupe en mer Rouge, notamment les attaques contre des navires commerciaux et des navires étrangers.
Pezeshkian a souligné que les actions des Houthis représentent « un soutien pratique à la Palestine », fustigeant d’autres pays arabes pour ce qu’il a appelé « leur inaction ». Ce soutien du nouveau président du régime met en évidence le rôle continu de Téhéran en tant que principal instigateur de la violence et des troubles au Moyen-Orient.
De plus, la condamnation par Pezeshkian de certaines nations arabes pour leur inaction apparente révèle la rhétorique conflictuelle du régime visant à favoriser la discorde entre les pays musulmans. Son affirmation selon laquelle les politiques subversives de l’Occident sont responsables des troubles dans la région détourne l’attention du rôle de Téhéran dans la perpétuation de la violence par l’intermédiaire de ses groupes mandataires.
Ces derniers jours, depuis sa nomination comme nouveau président du régime, Pezeshkian a réitéré le soutien de Téhéran aux groupes terroristes. Dans un message adressé au chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, Pezeshkian a souligné la politique de longue date du régime consistant à soutenir les activités terroristes dans la région.
Le rayonnement de Pezeshkian s’étend également à d’autres personnalités notoires. Il s’est récemment entretenu avec le dictateur syrien Bashar al-Assad, réaffirmant l’engagement de Téhéran à renforcer les liens avec le régime d’Assad, qui a été largement condamné pour sa répression brutale contre ses propres citoyens et son utilisation d’armes chimiques.
Ces déclarations montrent que la mort de l’ancien président du régime, Ebrahim Raïssi, figure clé de la consolidation du pouvoir et de la répression des dissidences internes, n’a pas conduit le guide suprême Ali Khamenei à changer de cap. Au lieu de cela, le régime a poursuivi ses tactiques d’oppression au niveau national tout en exportant la terreur à l’étranger. Les récentes élections simulées, marquées par d’importants boycotts, mettent en évidence le mécontentement croissant de la population iranienne à l’égard du régime tyrannique du régime.
Malgré une condamnation généralisée, la dictature des mollahs reste ferme dans son soutien aux activités terroristes, déstabilisant encore davantage une région déjà instable. La présidence de Pezeshkian, jusqu’à présent, signale la poursuite des politiques dangereuses de Téhéran et si les dirigeants du monde continuent d’ignorer ce qu’ils savent déjà sur le régime, le monde est sur le point de devenir un endroit plus dangereux, et non plus sûr.