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La colère et le mépris soulevés sur la scène internationale par les tentatives d’attentats terroristes aux EU, font délirer les services secrets des mollahs

CNRI – Effrayés par les retombées de la colère et du mépris soulevés sur la scène internationale par les tentatives d’assassinat de l’Ambassadeur saoudien et des attentats à la bombe contre plusieurs ambassades sur le sol américain, le lundi 17 octobre, les services secrets des mollahs ont prétendu que l’une des personnes inculpées en lien avec ces tentatives d’attentats est membre des Moudjahidine.

L’Agence de presse Mehr, affiliée au ministère des Renseignements, a répliqué aux révélations par la Résistance iranienne des nouveaux détails des activités terroristes de la division Quds en Europe et aux Etats-Unis, par une dépêche entièrement mensongère.

« L’accusé du deuxième rang de la prétendue tentative d’assassinat de l’Ambassadeur saoudien,  est l’un des principaux membres de l’Organisation des Moudjahidine qui voyageait avec des passeports iraniens et d’autres pièces d’identité falsifiés », écrit l’Agence Mehr, dans une dépêche montée de toute pièce.

Cette dépêche qui épouse le ridicule, fournit le numéro d’un passeport prétendu être remis à Washington à l’accusé du deuxième rang en 2006, et ajoute sans craindre la flagrante contradiction, que celui-ci « a été vu pour la dernière fois à Washington et au garnison d’Achraf »(sic).

Ce genre de délires est une méthodes maintes fois répétée par le régime des mollahs lors des trois dernières décennies, et qui consiste à attribuer ses propres crimes à son opposition. La dictature religieuse avait déjà attribué aux Moudjahidine les assassinats abominables des prêtres chrétiens et l’attentat à l’explosif contre le Mausolée de l’Imam Reza (à Mechhed) en 1994 ainsi que  le carnage des pèlerins de la Mecque en 1987. Les mollahs s’imaginaient qu’ils parviendraient ainsi à porter atteinte au prestige de leur opposition et en même temps à se déculpabiliser. Mais quelques années plus tard, lors des guerres intestines du pouvoir, des officiels du régime ont révélé que tous ces crimes avaient été perpétrés par les services secrets. De toute manière, avec ou sans ces dernières révélations, le peuple iranien ne s’est jamais laissé abusé par ces mensonges.

La résistance iranienne souligne encore une fois la nécessité d’une mesure d’urgence de la communauté internationale contre le terrorisme effréné, les violations systématiques des droits de l’Homme et les barbaries perpétrés par ce régime.

Secrétariat du Conseil national de la résistance iranienne
18 octobre 2011