CNRI – Quelques jours après le passage du cyclone Guno et l’inondation qu’il a entrainée, des milliers des personnes sont toujours sinistrées dans la province du Sistan-Baloutchistan et vivent dans des conditions catastrophiques parce que le régime des mollahs n’a simplement envoyé aucune aide.
La région de Dachtyari fait face à une pénurie d’eau potable et de vivres. Les risque d’épidémie sont très élevés. De nombreux villages sont cernés par l’inondation et aucun secours ne leur est parvenue.
Dimanche, un taux de 23 morts a été annoncé mais le chiffre monte.
Beaucoup des blessés ne peuvent recevoir de soins dans les hôpitaux et centres médicaux. Certains villages sont détruits à 100 % et les sans abris se comptent par milliers.
On peut noter qu’une semaine avant le passage de Guno, les instituts météorologiques avaient lancé des avertissements. Mais les autorités n’ont rien pour empêcher les morts et les dégâts ou meme avertir la population.
Les rapports indiquent que la population des autres provinces envoient des secours avec des moyens de fortnue pour venir en aide aux sinistrés.
Le 7 juin, Maryam Radjavi, présidente de la République élue du Conseil national de la Résistance, a envoyé ses condoléances aux familles des victimes et demandé à la population des provinces du sud d’aider les victimes du cyclone à Bandar Abbas, Tchah Bahar, les ports de Hormozgan, et du Sistan- Balouchistan.