vendredi, mars 29, 2024
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La présence du régime des mollahs parmi les 21 vice-présidents de l’AGNU et au porte-parolat de la commission du désarmement de l’ONU

La nomination du régime des mollahs à la vice-présidence de l'Assemblée générale et la présidence de la commission du désarmement de l’ONU

· Bafoue les droits humains et la paix internationale

· Encourage les prises d’otages et le terrorisme du régime, l’accélération de ses projets nucléaires et sa belligérance dans la région

La Résistance iranienne condamne fermement la nomination de représentants de la dictature religieuse en Iran parmi les 21 vice-présidents de l’Assemblée générale de l’ONU lors de sa 78e session et au porte-parolat de la Première commission de l’ONU (sur le désarmement). Elle considère qu’il s’agit d’une violation de l’essence même de la création des Nations Unies, à savoir la promotion des droits humains, la paix et la sécurité internationales.

Alors qu’au moins 146 prisonniers ont été exécutés par ce régime au cours du mois de mai 2023 et 6 autres dans la matinée du jeudi 1er juin, la nomination du régime à la vice-présidence de l’AGNU est un coup de poignard dans le cœur des droits humains, un prix décerné au détenteur du record d’exécutions dans le monde et un encouragement à davantage de crimes.

Ce régime occupe le poste de porte-parole de la commission internationale du désarmement alors qu’il tente de toutes ses forces de produire une bombe atomique, que ses drones tuent des citoyens et des civils en Europe, que ses terroristes se livrent à des crimes de l’Amérique à l’Europe et dans le monde entier, et qu’il dépense la plus grande partie des richesses du peuple iranien dans l’exportation du terrorisme, la belligérance et la formation de forces mercenaires dans divers pays de la région. Cela tourne en dérision la paix internationale, contribue à accélérer les projets nucléaires du régime, alimente l’exportation du terrorisme et ouvre la voie à la guerre au Moyen-Orient et au-delà.

La dictature religieuse en Iran est une tache dans l’histoire de l’humanité contemporaine. Elle ne représente en aucune façon le peuple iranien, doit être expulsée des Nations Unies et des organisations internationales et ses dirigeants doivent être traduits en justice pour quatre décennies de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de génocide.

 

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne

Le 2 juin 2023