À Téhéran, en réponse aux déclarations de Khamenei la veille, les manifestants scandaient : « Notre ennemi est ici-même, ils mentent en disant que c’est l’Amérique », « Ce n’est que dans la rue qu’on obtiendra nos droits », « On ne lâche rien tant qu’on n’aura pas eu nos droits »
Le lundi 3 février 2025, les retraités des télécommunications ont organisé des rassemblements de protestation à Téhéran et dans 17 autres villes : Ilam, Bijar, Tabriz, Kermanchah, Ahwaz, Chiraz, Sanandaj, Zandjan, Khorramabad, Marivan, Hamedan, Chahrekord, Arak, Oroumieh, Ispahan, Sari et Racht, pour dénoncer le pillage de leurs droits. Dans certaines villes, comme Téhéran, ils ont d’abord défilé avant de se rassembler.
Iran- lundi – Téhéran, en réponse aux déclarations de Khamenei la veille, les manifestants scandaient :
«Notre ennemi est ici-même, ils mentent en disant que c’est l’Amérique »,
«Ce n’est que dans la rue qu’on obtiendra nos droits», «On ne lâche rien tant qu’on n’aura pas eu… pic.twitter.com/hf6prX0FDv— Afchine Alavi (@afchine_alavi) 3 février 2025
À Téhéran, dans la rue Sardar Jangal, les retraités ont répondu aux propos tenus par Khamenei la veille en scandant : « Notre ennemi est ici-même, ils mentent en disant que c’est l’Amérique », « Ce n’est que dans la rue qu’on obtiendra nos droits », « Unité, unité ».
À Kermanchah, les retraités des télécommunications criaient : « Notre pension ne suffit à couvrir qu’une semaine », « Les actionnaires majoritaires ont volé nos droits », « Travail à moitié fait, si on reste silencieux, rien ne changera »
À Zandjan, ils scandaient : « Vie décente et dignité, c’est notre droit fondamental », « Alignez produits alimentaires et niveau de vie », « On ne lâche rien tant qu’on n’aura pas obtenu nos droits ».
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 3 février 2025